Lafeuille d'automne EmportĂ©e par le vent En rondes monotones Tombant, tourbillonnant. PubliĂ© dans Musique, Chansons, Comptines, PoĂ©sie. Partager cet article. Repost 0. S'inscrire Ă la newsletter. Pour ĂȘtre informĂ© des derniers articles, inscrivez vous : Vous aimerez aussi : FĂȘte de la musique version 2022 Un 8 mars en musique! Julien DorĂ© Ă la flĂ»te Antonio Vivaldi Ă la flĂ»te
Viol et assassinat dâAgnĂšs Marin fiction et rĂ©alité⊠par Nov 21, 2011 ActualitĂ©Le petit village du Chambon-sur-Lignon et la France tout entiĂšre sont bouleversĂ©s par le viol et lâassassinat dâAgnĂšs Marin, cette collĂ©gienne de 13 ans. Une famille connaĂźt un deuil le meurtrier, un jeune collĂ©gien de 17 ans, avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© inculpĂ© pour un viol sur mineure en aoĂ»t drame soulĂšve une nouvelle fois la question des lenteurs de la justice et du maintien libertĂ© de certains criminels pourquoi ce jeune, qui avait Ă©tĂ© inculpĂ© en aoĂ»t 2010, nâavait-il pas encore Ă©tĂ© jugĂ© et placĂ© dans un centre de dĂ©tention adaptĂ© ?âŠIl soulĂšve Ă©galement la question de la rĂ©cidive et des expertises psychiatriques. On pose aux psychiatres des questions auxquelles nul ne pourra jamais rĂ©pondre comment savoir si un criminel nâest plus dangereux, est guĂ©ri et ne recommencera pas ?âŠEnfin, nous savons tous que les suivis psychiatriques imposĂ©s Ă certains, trĂšs souvent ne se font pas, faute de responsables politiques devront rĂ©pondre Ă ces questions, mais je voudrais ici en poser dâ veux parler de la violence des jeux vidĂ©o, de nombreux films, et de la banalisation de la pornographie. DĂšs leur plus jeune Ăąge, les jeunes baignent dans cette atmosphĂšre immorale, malsaine et point quâils ne font plus la diffĂ©rence entre la fiction et la rĂ©alitĂ©, au point quâils ne sont plus retenus par la moindre barriĂšre parents et les Ă©ducateurs ont une lourde responsabilitĂ© dans les crimes que nous rapportent chaque jour les plus que les parents encore, les responsables dâun grand nombre de dĂ©rives de nos adolescents, sont ceux qui commercialisent ces jeux, ces films, et tous les mĂ©dias qui rapportent chaque jour des crimes et des scĂšnes de avons deux petits-enfants de 5 et 3 ans. Ils viennent souvent chez nous. LĂ nous jouons avec eux au jeu de lâoie, aux petits chevaux, aux dames. Nous leur lisons ou racontons de saines histoires et, quand nous leur mettons des dessins animĂ©s, câest pour regarder Choupi et Doudou », la PanthĂšre rose », Boule et Bill », Tintin au Tibet » et des dessins animĂ©s dans lesquels il nây a pas de scĂšnes de violence, ni de viol. Pas des scĂšnes de guerre. Pas de diront que nous sommes ringards. Je ne crois personnalitĂ© du petit lâhomme se forge dĂšs ses premiĂšres annĂ©es. Et câest en baignant dĂšs le plus jeune Ăąge dans une atmosphĂšre harmonieuse dâamour et de fraternitĂ©, quâil deviendra un ĂȘtre droit, honnĂȘte et respectueux des Ă©videmment cela nâempĂȘchera pas certains de sombrer dans la dĂ©linquance, la drogue et le crime. Il est, hĂ©las, des adultes qui rejettent les valeurs apprises dans leur enfance. Câest lĂ la rançon de la cela limitera le nombre des dĂ©rives Ă lâheure de lâ nom de la sacro-sainte libertĂ©, la censure est interdite et pourtant tout nâest pas bon pour les enfants. Loin de appartient bien sĂ»r aux parents de faire cette censure. Mais, bien souvent â trop souvent ! â pris par le temps et la fatigue, ils adoptent la solution de facilitĂ© et laissent leurs enfants jouer Ă la guerre sur leurs consoles ou regarder nâimporte quoi Ă la il y a de plus en plus de familles monoparentales dont le responsable nâa plus le temps de veiller aux activitĂ©s de ses prĂ©tends donc que les crĂ©ateurs de jeux violents, les producteurs de certains films qui banalisent la cruautĂ© et la barbarie, les mĂ©dias â TV et radios â qui se repaissent de scĂšnes morbides ou qui incitent Ă la dĂ©bauche avec des numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone oĂč joindre des prostituĂ©es, ont une grande part de responsabilitĂ© dans les drames de notre triste Ă©poque !âŠPour finir, je rappellerai que les habitants de ce petit village du Chambon-sur-Lignon si cruellement marquĂ© aujourdâhui, ont sauvĂ© un trĂšs grand nombre de juifs pendant la derniĂšre cette image de dĂ©vouement aux autres, avec tous les dangers quâil comportait, que je veux garder. Et quâil faut garder. Câest cet exemple de fraternitĂ© courageuse quâil faut avant tout novembre 2011 Ă Rillieux par Henri LAFFORGUE Nov 14, 2011 ActualitĂ©, Histoire Une assistance nombreuse se pressait ce 11 novembre au monument pour la Paix Ă Rillieux. Voici le discours lu par le vice-prĂ©sident du Souvenir Français de Rillieux, lors de cette cĂ©rĂ©monie. Nâoublions pas nos morts tombĂ©s pour la France ! Le 11 novembre 1918, Ă onze heures, les cloches de toutes les Ă©glises de France ont sonnĂ©, pour annoncer la fin de la guerre. Ce furent un peu partout des larmes de joie et des larmes de tristesse. Larmes de joie, pour cĂ©lĂ©brer la fin dâun enfer qui avait durĂ© quatre ans. Et larmes de tristesse dans dâinnombrables foyers marquĂ©s par un deuil cruel. Tout a Ă©tĂ© dit sur terrible guerre 1,5 million de morts pour la France, 4 millions de blessĂ©s, 700 000 veuves et 650 000 orphelins. Tout a Ă©tĂ© dit sur cette PremiĂšre Guerre mondiale et ses 20 millions de morts et 21 millions de blessĂ©s ! Tout a Ă©tĂ© dit, enfin, sur cet Armistice malheureux qui portait en germe la DeuxiĂšme Guerre mondiale. Le marĂ©chal Foch eut cette parole prophĂ©tique, aprĂšs le TraitĂ© de Versailles Ce nâest pas une paix, câest un armistice de vingt ans. » Oui, tout a Ă©tĂ© dit sur cette guerre meurtriĂšre. Et pourtant, il ne faut pas craindre de se rĂ©pĂ©ter. Il faut se souvenir de tous ces hommes qui sont devenus des hĂ©ros sans lâavoir voulu. Il faut se souvenir de leur sacrifice et perpĂ©tuer leur mĂ©moire. Mais ce regard vers le passĂ© doit ĂȘtre aussi tournĂ© vers lâavenir et nous donner la force, le courage, lâaudace dont nous avons tant besoin pour construire ce monde fraternel que nos aĂźnĂ©s nâont pas rĂ©ussi Ă construire. Ce nâest pas pour rien que Verdun avec ses 306 000 morts et ses 400 000 blessĂ©s, est devenue capitale mondiale de la Paix. Il dĂ©pend de nous, de chacun de nous, que le sang versĂ© hier devienne une source de Paix. Notre monde est dĂ©chirĂ© par dâinnombrables conflits devant lesquels nous pouvons nous croire impuissants. Que de morts et de blessĂ©s, chaque jour, en Afghanistan, en Syrie, en Irak, en Libye et dans combien de pays du monde ! Que pouvons-nous faire pour Ă©viter toutes ces souffrances qui appellent sans cesse Ă la haine et Ă la vengeance ?⊠Devenons accepter cet engrenage de la violence comme une fatalitĂ© contre laquelle nous ne pourrions rien ?⊠La guerre est contagieuse. Nous la savons. Mais souvenons-nous que la Paix est tout aussi contagieuse. Nos poilus dâhier nous disent Faites la paix dans vos foyers, dans vos familles, avec vos amis, avec vos proches, avec toutes celles et tous ceux que vous rencontrez chaque jour. » Si nous savons faire la Paix dans notre entourage, alors elle se rĂ©pandra de proche en proche et inondera le monde. Enfin, dans un monde touchĂ© par la dĂ©sespĂ©rance, nos poilus nous rĂ©pĂštent Ne dĂ©sespĂ©rez pas ! » Le monde connaĂźt la plus grave crise Ă©conomique et financiĂšre quâil nâait jamais connue. Veillons Ă ce que cette crise nâengendre pas des replis sur soi Ă©goĂŻstes et frileux, mais quâelle soit lâoccasion de fortifier notre gĂ©nĂ©rositĂ©, notre solidaritĂ© et notre sens de la justice. VoilĂ la leçon que nous donnent nos morts de 14-18. Le Souvenir Français nous invite Ă la suivre fidĂšlement. Alors nos morts pourront dormir en paix. Alors leur sang nâaura pas coulĂ© en vain. Alors ils seront fiers de en GrĂšce⊠par Henri LAFFORGUE Nov 2, 2011 ActualitĂ©, PolitiqueTollĂ© gĂ©nĂ©ral en Europe et dans le monde, aprĂšs lâannonce, par Georges PapandrĂ©ou, dâun rĂ©fĂ©rendum en gouvernements des dix sept pays dâEurope qui avaient adoptĂ© Ă lâunanimitĂ© un plan de sauvetage au sommet de Bruxelles, les 26 et 27 octobre, sont furieux. Les bourses plongent. Et pourtant, cette dĂ©cision nâest-elle pas juste et dĂ©mocratique ?Le peuple grec ne cesse de manifester de plus en plus violemment contre des dĂ©cisions imposĂ©es de lâextĂ©rieur. Nâest-il pas juste de le consulter officiellement ?âŠDe quoi ont donc peur tous nos hommes politiques, tous nos banquiers et nos boursiers, si ce nâest que le peuple grec refuse ce plan de sauvetage que lâEurope lui a imposĂ© et qui le saigne Ă blanc ?âŠLe peuple nâest-il pas souverain ?âŠNicolas Sarkorzy est mal placĂ© pour donner la leçon Ă Georges PapandrĂ©ou. Non seulement il nâaura pas organisĂ© un seul rĂ©fĂ©rendum pendant son quinquennat, mais encore il a court-circuitĂ© la dĂ©cision du peuple français qui, en 2005, avait refusĂ© avec une majoritĂ© de 55% de ratifier le traitĂ© de peur dâavoir Ă nouveau une rĂ©ponse nĂ©gative, il sâest adressĂ© au CongrĂšs en 2008 pour faire ratifier ce traitĂ©. Conception de la dĂ©mocratie discutable, mĂȘme sâil avait annoncĂ© son intention pendant sa campagne Ă©lectoraleâŠUne question se pose ici un gouvernement dĂ©mocratique doit il accepter la dĂ©cision dâun peuple quand ce dernier se trompe ?âŠ.Câest lĂ un grave problĂšme. Câest lĂ la force et la faiblesse des dĂ©mocratiesâŠCâest le cas du FIS Front Islamique du Salut qui obtint lĂ©galement 82% des siĂšges aux Ă©lections lĂ©gislatives en AlgĂ©rie le 26 dĂ©cembre 1991 et qui fut Ă©vincĂ© de maniĂšre forte par lâ le droit, dâĂ©carter par la force, ceux que le peuple a dĂ©mocratiquement Ă©lus, mĂȘme si ces derniers doivent le priver ensuite de libertĂ© ?âŠToute la question est lĂ . La GrĂšce est dans ce cas aujourdâhui George PapandrĂ©ou a-t-il le droit de passer outre les volontĂ©s de son peuple mĂȘme si celui-ci prend une dĂ©cision qui le mĂšne Ă sa perte ?âŠChant dâautomne⊠par Henri LAFFORGUE Oct 30, 2011 ActualitĂ©, LittĂ©rature et poĂ©sieVoici lâautomne et voici le temps des morts. Ne soyons pas tristes. Ceux qui nous ont quittĂ©s ne connaissent plus ni la faim, ni la soif, ni les mille souffrances de ce reposent dans la paix des cimetiĂšres ou que leurs cendres aient Ă©tĂ© dispersĂ©es Ă travers les terres ou sur les mers, au grĂ© des vents que rien nâarrĂȘte, ils prĂ©cieusement au fond de notre cĆur le souvenir des moments heureux partagĂ©s avec ceux que nous avons aimĂ©s. A tous, croyants ou non-croyants, le souvenir de ces instants de bonheur apportera un indicible notre vie sâarrĂȘte-elle ici bas ?⊠Je ne puis le croire. Nous sommes matiĂšre et Esprit. La matiĂšre se dissout, se dĂ©compose, se dĂ©sintĂšgre au fil du temps qui tout emporte, mais lâEsprit, lui, ne meurt pas. LâEsprit ne meurt le Juste, celui qui a essayĂ© de vivre une vie droite ici bas, celui qui a essayĂ© de donner un peu dâaffection ou dâAmour Ă des proches en ce monde, celui-lĂ repose dans la Paix, le Bonheur et la de lâEternitĂ© oĂč il nous prĂ©cĂšde, il veille sur nous, hĂŽtes Ă©phĂ©mĂšres dâun monde oĂč tout passeâŠVoici lâautomne et montent les priĂšres Ă nos morts, Ă tous ceux que nous avons aimĂ©s. Dormez en paix, ĂŽ chers disparus, et donnez-nous ce Courage dont nous avons tant besoin pour poursuivre notre route !SĂ©chez nos larmes, nĂ©es dâun deuil tout proche et ravivez en notre cĆur la flamme de lâEspĂ©rance, qui nous guide dans la lâhiver qui sâapproche, dans lâhiver de nos vies, me revient cette comptine dâune enfance lointaine La feuille dâautomne, emportĂ©e par le vent, tombe en tourbillonnant en rondes monotones. »Nous sommes ces feuilles portĂ©es par les vents dâautomne et dont lâĂ©phĂ©mĂšre beautĂ© ravit nos yeux Monde-Uni. Une utopie ?⊠Pas si sĂ»r !⊠par Henri LAFFORGUE Oct 30, 2011 ActualitĂ©, RĂ©flexions diverses La France et un grand nombre de pays europĂ©ens â qui se disent victimes de la mondialisation â sont tentĂ©s de se replier sur soi et de fermer leurs frontiĂšres. Mais tel nâest pas le cas des pays Ă©mergents comme la Chine, lâInde ou le BrĂ©sil qui reprĂ©sentent presque la moitiĂ© de la population mondiale et dont la quasi-totalitĂ© des habitants souhaite la mondialisation. Quand donc nos politiques, Ă©conomistes et financiers de tout poil, renonceront-ils au rĂȘve dĂ©passĂ© dâune France premiĂšre puissance Ă©conomique mondiale. Nous reprĂ©sentons moins de 1% de la population mondiale ! Pourquoi voudrions-nous avoir encore la primautĂ© commerciale et industrielle ?!⊠La roue tourne. Notre population vieillit et les pays Ă©mergents â dont la population est jeune â veulent leur place au soleil. Ce nâest quâun juste retour des choses. AprĂšs lâĂ©chec dâune Europe qui sâest dĂ©veloppĂ©e beaucoup trop vite et qui a Ă©tĂ© bĂątie presque exclusivement sur le fric », la France dont la grandeur repose avant tout dans le rayonnement de ses idĂ©es, de sa culture, de ses arts, de son humanisme, devrait sâatteler maintenant Ă la crĂ©ation du Monde-Uni. Un monde dans lequel il est Ă©vident que nous sommes tous interdĂ©pendants et Ă la construction duquel chaque pays, chaque individu doit apporter sa pierre. Un monde oĂč lâon cessera de voir en lâautre un rival ou un ennemi Ă Ă©liminer, mais un frĂšre de la terre ayant les mĂȘmes droits et les mĂȘmes devoirs que chacun de nous. Un monde oĂč lâargent, les banques, les bourses seront au service de lâhomme tout entier et non plus le contraire, comme câest le cas aujourdâhui. Un monde oĂč lâon sâattellera aux problĂšmes les plus urgents veiller Ă ce que chacun ait de quoi se nourrir, se vĂȘtir et se loger dĂ©cemment. Un monde dans lequel chaque enfant sera scolarisĂ© et dans lequel chacun pourra profiter des bienfaits de la mĂ©decine, de toutes les sciences et de toutes les techniques anciennes et modernes. La recherche de tous ces objectifs essentiels, procurera du travail Ă chacun et les compĂ©tences de chacun seront exploitĂ©es. Sâagit-il dâun rĂȘve ? NON ! La dramatique crise mondiale que nous connaissons actuellement âqui frappe les riches sur leur superflu et les pauvres sur le nĂ©cessaire â nous invite Ă remettre les pendules Ă lâheure ! Il est impĂ©ratif et urgent de mettre un terme aux Ă©carts scandaleux entre les pays riches â dont nous sommes â et les pays pauvres. Ecarts dâespĂ©rance de vie, dâaccĂšs aux soins, dâĂ©ducation, Ă©carts dans la vie quotidienne, etc. Il appartient Ă la France dâaujourdâhui, Ă la France des droits de lâhomme, Ă la France Ă©ternelle, de jeter des ponts entre tous les pays pour construire ce monde de justice, de paix et de fraternitĂ© auquel nous aspirons tous. Il sâagit lĂ dâune tĂąche surhumaine, mais comme le disait Albert Camus On appelle surhumaines les tĂąches que les hommes mettent longtemps Ă accomplir, voilĂ tout. » LâĂ©tĂ©.
PapierfroissĂ©. Chanson d'automne. Ils sont venus, maintes et maintes fois. Vendre leur monde, ton chemin d'croix. Tu nieras celui que tu n'aimes pas. Et la foule marcher dans les mĂȘmes pas. J'ai vu l'mĂ©tal ouvrir ses ailes. Et sur l'Ă©cran, ouais, l'image est
Chantons maintenant pour faire sociĂ©tĂ© Lâautomne apporte son lot de petites rĂ©miniscences de lâenfance. La sortie aux champignons, la chute des feuilles dont quelques beaux spĂ©cimens finissaient dans le cartable pour une activitĂ© quelconque peinture ou bien sciences naturelles comme on disait alors, la grillĂ©e de chĂątaignes autour dâune boisson chaude et de quelques histoires. Ă chaque fois, revient en mĂ©moire cette belle comptine dâalors Francis Cabrel Colchiques dans les prĂ©s Colchiques dans les prĂ©s Colchiques dans les prĂ©s Fleurissent, fleurissent Colchiques dans les prĂ©s C'est la fin de l'Ă©tĂ© La feuille d'automne EmportĂ©e par le vent En rondes monotones Tombe en tourbillonnant Nuage dans le ciel S'Ă©tire, s'Ă©tire Nuage dans le ciel S'Ă©tire comme une aile La feuille d'automne EmportĂ©e par le vent En rondes monotonesTombe en tourbillonnant ChĂątaignes dans les bois Se fendent, se fendent ChĂątaignes dans les bois Se fendent sous nos pas La feuille d'automne EmportĂ©e par le vent En rondes monotones Tombe en tourbillonnant Et ce chant dans mon cĆur Murmure, murmure Et ce chant dans mon cĆur Murmure le bonheur La feuille d'automne EmportĂ©e par le vent En rondes monotones Tombe en tourbillonnant La feuille d'automne EmportĂ©e par le vent En rondes monotones Tombe en tourbillonnant Chantant ces paroles en fin de soirĂ©e lors dâun spectacle, je me rendis compte, abasourdi que rares Ă©taient ceux qui parmi les adultes prĂ©sents se souvenaient des paroles dans leur entiĂšretĂ©. Aurions-nous Ă ce point effacĂ© notre patrimoine culturel pour faire place dans nos mĂ©moires si peu actives, Ă des informations Ă©phĂ©mĂšres et sans importance ? Poussant la chansonnette plus loin, jâentamai un trois jeunes tambours qui sonna creux dans lâassistance. La fille du roi avait sans doute perdu la tĂȘte lors de la RĂ©volution numĂ©rique. Trois jeunes tambours © RĂ©mi Guichard - Topic Trois jeunes tamboursTrois jeunes tambours s'en revenaient de guerre bisEt ri et ran, ran pa ta revenaient de guerre !Le plus jeune a - dans sa bouche une rose bisEt ri et ran, ran pa ta sa bouche une rose !La fille du roi Ă©tait Ă sa fenĂȘtre bis + Ătait Ă sa fenĂȘtre !Joli tambour, donne-moi donc ta rose bis + Donne-moi donc ta rose !Fille du roi, donne-moi donc ton cĆur bis + Donne-moi donc ton cĆur !Joli tambour, demande-le Ă mon pĂšre bis + Demande-le Ă mon pĂšre !Sire le roi, donnez-moi votre fille bis + Donnez-moi votre fille !Joli tambour, tu n'es pas assez riche bis + Tu n'es pas assez riche !J'ai trois vaisseaux dessus la mer jolie bis + Dessus la mer jolie !L'un chargĂ© d'or, l'autre de pierreries bis + L'autre de pierreries !Et le troisiĂšme pour promener ma mie bis + Pour promener ma mie !Joli tambour, dis-moi quel est ton pĂšre bis + Dis-moi quel est ton pĂšre !Sire le roi, c'est le roi d'Angleterre bis + C'est le roi d'Angleterre !Et ma mĂšre est la reine de Hongrie bis + La reine de Hongrie !Joli tambour, tu auras donc ma fille bis + Tu auras donc ma fille !Sire le roi, je vous en remercie bis + Je vous en remercie !Dans mon pays y en a de plus jolies bis + Y en a de plus jolies ! Inutile de vous dire que les quelques enfants prĂ©sents ignoraient tout des paroles qui pourtant Ă©taient connues de tous dans un passĂ© pas si lointain quand la population faisait nation en disposant dâun patrimoine commun. Il y a bien des chansonnettes qui faisaient alors lien social, rĂ©unissant le temps de quelques notes, ceux qui avaient encore quelque chose Ă partager. Qui se souvient maintenant de Jeannette qui pleure son amoureux pendu ou de la belle fille qui aime le petit cordonnier ? Nana Mouskouri Aux marches du palais © ÎÎÎÎ ÎÎ΄ΧÎ΄ΥΠ- FASCINATING NANA MOUSKOURI Aux Marches Du PalaisAux Marches Du PalaisAux Marches Du PalaisY a une tant belle fille lon la Y a une tant belle filleElle a tant d'amoureux bisQu'elle ne sait lequel prendre lon la bisC'est un petit cordonnier bisQu'a eu la prĂ©fĂ©rence lon la bisUn jour la lui chaussant bisIl lui fit sa demande lon la bisLa belle si tu voulais bisNous dormirions ensemble lon la bisDans un grand lit carrĂ© bisCouvert de toile blanche lon la bisAux quatre coins du lit bisUn bouquet de pervenches lon la bisDans le mitan du lit bisLa riviĂšre est profonde lon la bis Tous les chevaux du roi bisPourraient y boire ensemble lon labis Et nous y dormirions bisJusqu'Ă la fin du monde lon la bis On peut, si on ne veut pas faire chou-blanc, chanter la ritournelle de Zorro qui trouvera bien quelques personnes se souvenant de la chanson qui accompagnait le gĂ©nĂ©rique. Pour le reste, chaque gĂ©nĂ©ration dispose de son petit lot de chansonnettes qui signalait des sĂ©ries ou des dessins animĂ©s de lâĂ©poque. La fragmentation de la mĂ©moire a fait son Ćuvre pour diviser toujours plus un peuple mallĂ©able Ă merci. Cette volontĂ© de redonner Ă la mĂ©moire commune, un repertoire de comptines que lâon pensait Ă©ternelles sera perçue pour le mieux avec ironie et plus sĂ»rement avec un total dĂ©sintĂ©rĂȘt par les tenants de la mondialisation abrutissante et aliĂ©nante. Câest si vrai que dans nos stades dâinculture gĂ©nĂ©rale, quand la foule encourage lâĂ©quipe nationale, elle nâa dâautre ressource que de beugler une Marseillaise si dĂ©placĂ©e dans une telle enceinte. Nos amis anglais nous donne la leçon en entonnant des grands chansons traditionnelles tandis quâil me revient en mĂ©moire la rĂ©flexion que souvent des amis quĂ©becois me firent en Ă©coutant mes contes et mes chansonnettes Toi, tâes un cousin. Pas Ă©tonnant quâici, ils ne puissent pas te comprendre. Les Français ont bradĂ© leur langue et leur culture ! » VoilĂ pourtant une maniĂšre simple de redonner corps Ă cette nation en partageant une petite dizaine de comptines que nous serions tous capables dâentonner en chĆur. En chĆur ! Quel plus beau mot pour signifier le partage, la solidaritĂ©, la communion, la fraternitĂ©. Des notions il est vrai, totalement incompatibles avec lâidĂ©ologie que nos dirigeants nous imposent pour le seul profit dâun systĂšme qui nous conduit vers le nĂ©ant. Enchantement pleure pas, JeannetteNe pleure pas, Jeannette,Tra la la la la la la la la la la la la,Ne pleure pas, Jeannette,Nous te marieronsNous te marieronsAvec le fils d'un prince, bis Ou celui d'un baron bis Je ne veux pas d'un prince bisJe ne veux pas d'un prince bisJe veux mon ami Pierre bisCelui qu'est en prison bisTu n'auras pas ton Pierre bisNous le pendouillerons bisSi vous pendouillez Pierre bisPendouillez avec bisEt l'on pendouilla Pierre bisEt sa Jeannette avec bisSur la plus haute branche bisUn rossignol chantait bisIl chantait les louanges bisDe Pierre et de Jeannette bis Ne pleure pas Jeannette - Les Quatre Barbus et Lucienne Vernay © fenicnarfabc fenicnarfabc
UNEFEUILLE Une feuille tourbillonne Emportée par le vent Elle me caresse le bout du nez Et se pose sur mon pied. Editer la page Suivre ce blog Administration Connexion + Créer mon blog unamour.denounou83.over-blog.com
Comptines et Belles histoires est un blog rempli de coup de coeur. Vous trouverez ici tous les livres pour enfant prĂ©fĂ©rĂ©s d'une maman et son fils il Ă©tait un bĂ©bĂ© Ă l'ouverture du blog, et il grandit en mĂȘme temps que ce blogVous trouverez Ă©galement sur ce blog des partages de jeux de sociĂ©tĂ©, des comptines et chansons, des conseils cinĂ©ma & dessins animĂ©s, et d'autres activitĂ©s mĂ©ditations, coloriages...Ce blog est gĂ©rĂ© avec passion par une maman, historienne de l'art et autrice jeunesse.
TraditionnelColchiquesdans les Prés. Ab A A# Bb B C C# Db D D# Eb E F F# Gb G G#. Song : D Intro : Dm Dm Colchiques dans les prés Fleurissent, fleurissent C Gm Colchiques dans les prés Dm C'est la fin de l'été Refrain : Dm La feuille d'automne Gm Bb Emportée par le vent F Gm En rondes monotones Dm Tombe en tourbillonnant Dm Chùtaignes
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Lafeuille dautomne emportée par le vent.. Colchiques dans les pres. Explication de Colchiques Dans Les Prés. Colchiques dans les prés. Les deux autrices Jacqueline Debatte pour les paroles et son amie Francine Cockenpot pour la mélodie toutes deux chefs scouts créent cette ritournelle vers 19421943 à lintention des scouts.
Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal ⏠Angelots et diablotins Les bonheurs des bambins Les comptines et chansons AuteurMessageTallyAdminMessages 1476Date d'inscription 04/10/2008Age 51Sujet Saison l'automne Mer 8 Oct - 2249 L'automne au coin du boisL'automne au coin du boisjoue de l'harmonica,quelle joie chez les feuilles !Elles valsent au bras du ventqui les emporte,on dit qu'elles sont mortes,mais personne n'y au coin du boisjoue de l' TallyAdminMessages 1476Date d'inscription 04/10/2008Age 51Sujet Re Saison l'automne Mer 8 Oct - 2249 Tombe, tombe la pluieTombe, tombe, tombe la pluie,tout le monde est Ă l' que mon p'tit frĂšrequ'est sous la gouttiĂšrepĂȘchant des poissonspour toute la TallyAdminMessages 1476Date d'inscription 04/10/2008Age 51Sujet Re Saison l'automne Mer 8 Oct - 2249 La pluie sur mon couLa pluie sur mon couC'est doux, c'est douxLa pluie sur mon frontC'est bon, c'est bonLa pluie sur mes doigtsC'est froid, c'est froid_________________ TallyAdminMessages 1476Date d'inscription 04/10/2008Age 51Sujet Re Saison l'automne Mer 8 Oct - 2250 Il pleut, il mouilleIl pleut, il mouilleC'est la fĂȘte Ă la grenouilleQuand il ne pleuvra plusCe s'ra la fĂȘte Ă la tortue_________________ TallyAdminMessages 1476Date d'inscription 04/10/2008Age 51Sujet Re Saison l'automne Mer 8 Oct - 2250 Petit escargotPetit escargotPorte sur son dosSa maisonnetteAussitĂŽt qu'il pleutIl est tout heureuxIl sort sa tĂȘte_________________ TallyAdminMessages 1476Date d'inscription 04/10/2008Age 51Sujet Re Saison l'automne Mer 8 Oct - 2251 Colchiques dans les prĂ©sColchiques dans les prĂ©sFleurissent, fleurissentColchiques dans les prĂ©sC'est la fin de l'Ă©tĂ©Refrain La feuille d'automneEmportĂ©e par le ventEn ronde monotoneTombe en tourbillonnant ChĂątaignes dans les boisSe fendent, se fendentChĂątaignes dans les boisSe fendent sous nos pasRefrainNuages dans le cielS'Ă©tirent, s'Ă©tirentNuages dans le cielS'Ă©tirent comme une aileRefrainEt ce chant dans mon coeurMurmure, murmureEt ce chant dans mon coeurAppelle le bonheurRefrain_________________ TallyAdminMessages 1476Date d'inscription 04/10/2008Age 51Sujet Re Saison l'automne Mer 8 Oct - 2251 Les feuilles d'automneJ'ai regardĂ© les feuilles rougesElles tombaientJ'ai regardĂ© les feuilles jaunesElles volaientJ'ai regardĂ© les feuilles brunesQue le vent poussaitRouges, jaunes, brunesChacune dansait_________________ TallyAdminMessages 1476Date d'inscription 04/10/2008Age 51Sujet Re Saison l'automne Mer 8 Oct - 2251 Le petit marronCe petit marronTombe sans raisonSur le grand chapeauD'un beau ! Ouille, ouille !Dit le champignon,En voilĂ de drĂŽles de petit marronTrĂšs gĂ©nĂ© bredouilleDĂ©solĂ© Monsieur,Mais l'automne est ma jolie bogueJe n'ai pu rester !DĂ©solĂ© Monsieur,Mais l'automne est TallyAdminMessages 1476Date d'inscription 04/10/2008Age 51Sujet Re Saison l'automne Mer 8 Oct - 2253 Le parapluieTip tap la pluie goutteL'enfant tape son index dans l'autre paume Tip tap, Ă©coute Les mains derriĂšre les oreilles Tip tap la pluie tombe L'enfant tape deux doigts dans la paume Tip tap il fait sombreLes mains sur les yeux Tip tap c'est le tonnerreL'enfant tape avec toute sa main Qui se met en colĂšre Braoum ! Vite mon fait un arc avec ses deux bras au dessus de la TallyAdminMessages 1476Date d'inscription 04/10/2008Age 51Sujet Re Saison l'automne Mer 8 Oct - 2254 Tombe la pluieTombe, tombe, tombe la pluieTout le monde est Ă l'abriY'a que mon p'tit frĂš-reQu'est sous la gouttiĂš-rePĂȘchant du poissonPour toute la maison_________________ Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Saison l'automne Saison l'automne Page 1 sur 1 Sujets similaires» Saison l'Ă©té» Saison l'hiver» Saison le printempsPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumAngelots et diablotins Les bonheurs des bambins Les comptines et chansonsSauter vers
Feuillesd'automne dansent la samba Gigotent, gigotent du haut jusqu'en bas 1 J' suis allĂ© dans la forĂȘt Remplir mon petit panier Mais j'ai rien ram'nĂ© Car mon panier Ă©tait percĂ© Refrain (bis) 2 Alors j'y suis retournĂ© Remplir la poche du gilet Mais j'ai rien ram'nĂ© Car ma p'tite poche Ă©tait trouĂ©e Refrain (bis) 3 Alors je me suis fĂąchĂ©
CHANSON D`AUTOMNE Paul Verlaine CHANSON DâAUTOMNE Paul Verlaine 1. 2. 3. 4. 5. 6. Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone. 7. 8. 9. 10. 11. 12. Tout suffocant Et blĂȘme, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure; 13. 14. 15. 16. 17. 18. Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà , delĂ Pareil Ă la Feuille morte. La poĂ©sie sâouvre sur une mĂ©taphore les sanglots - qui oriente immĂ©diatement le texte vers une sonoritĂ© triste qui joue sur des allitĂ©rations. Le poĂšte sente, dans un espace ouvert, les sanglots des prĂ©sent la nature telle que la musique des violons; il est dans une nature indĂ©finie. La rime automne», monotone», qui apparaĂźt chez Baudelaire dans chant d'automne, souligne la caractĂ©ristique de cette strophe. Dans la seconde strophe le poĂšte dĂ©place son attention du tableau de la nature, Ă lui-mĂȘme, Ă son Ăąme. Ses Ă©tats dâĂąme correspondent Ă la nature de la premiĂšre strophe. Les rĂ©actions dĂ©crites sont proches de l'asphyxie suffocant», blĂȘme». Le poĂšte est dans sa chambre, il est Ă©touffĂ©, blessĂ© quand il sent le clocher qui batte les heures, il se souvient de sa jeunesse, la saison de sa vie regrettĂ©. Le poĂšte fait allusion au passĂ© et ici il y le thĂšme romantique de la fuite du temps et le souvenir de sa jeunesse. Dans la troisiĂšme strophe il recommence son chemin et il se laisse aller au vent mauvais qui le pousse comme une feuille morte. L'absence de remĂšde et de forces conduisent le poĂšte Ă une passivitĂ© qu'exprime bien la comparaison avec la feuille livrĂ©e au vent. L'allusion au vent qui est un mĂ©taphore de la mort rappelle l'automne et annonce la comparaison avec la feuille. Celle-ci souligne bien la passivitĂ© physique et la faiblesse morale d'un ĂȘtre qui se laisse aller et subit toutes les influences et qui s'abandonne avec passivitĂ© Ă son destin. ThĂšme Chanson dâautomne est une Ćuvre de jeunesse de Verlaine et fait partie des PoĂšmes Saturniens, premier recueil de poĂšmes publiĂ© par Paul Verlaine en 1866. Le thĂšme dominante est l'automne et la sensation de tristesse qui l'accompagne. Comme tant d'Ă©crivains et de poĂštes du XVIIIe siĂšcle Verlaine s'est laissĂ© inspirer par le charme mĂ©lancolique de l'automne et traduit les sensations et la souffrance que provoque en lui lâautomne. Mais il traite ce thĂšme, Ă sa maniĂšre musicale et harmonieuse tout en nuance et en accent lĂ©ger et compose une chanson d'une extraordinaire nouveautĂ© par sa facture mĂ©trique et syntaxique. La douceur des sonoritĂ©s, la fluiditĂ© d'un rythme variĂ©, n'exclut cependant ni les regrets, ni la souffrance physique et morale ni la conscience d'une errance douloureuse et passive. LiĂ©es par le thĂšme de la souffrance et de l'errance les 3 strophes ont cependant une autonomie - La premiĂšre Ă©voque explicitement l'automne Ă travers une correspondance entre une sonoritĂ© et une douleur. - La deuxiĂšme souligne la tentation de la mĂ©moire et des souvenirs comme remĂšdes Ă la fuite du temps. - La troisiĂšme conclut sur l'impuissance du poĂšte dont la destinĂ©e est aussi fragile que celle des feuilles automnales. Style Le poĂšme est composĂ© de trois strophes de six vers avec alternance dans chaque strophe de trois rimes diffĂ©rentes, selon le schĂ©ma AA/B/CC/B.
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comptine la feuille d automne emportée par le vent