Musiqueet texte : fr. Jean-Baptiste du Jonchay Harry Potter 2005 ~¤~ Pré-au-Lard ~¤~ Forêt InterditeEvanSerpentard Re Rendez-vous au fond de la forêtEvan, le Mer 23 Aoû - 1424 Le vent tournait. Les feuilles de la vie pouvaient s'échouer en quelques secondes. Un acquis pouvait voler en éclats. Un principe en lambeaux. Je voyais celle qui était mon élève souffrir sous mon sortilège, et j'étais passé de réticent à cette idée, à ne pas esquisser le moindre remords de la voir ainsi, livrée à la était faiblesse, une vulgaire plume laissée à un tourbillon qu'elle ne pouvait que subir. Je voyais ses spasmes, entendais l'écho de ses larmes, qui avait suivi celui plus tôt de ses cris, mais j'étais devenu le bourreau qu'elle avait voulu que je sois. Pas même les empreintes de sang qu'elle laissait ne m'alertèrent. Quand je stoppais mon sort, je restais un observateur muet de ce spectacle que j'avais créé. Je l'avais brisée pour tenter de la rendre plus forte. Je la voyais, là, à essayer de se redresser, à tomber, mais je ne bougeais pas. C'était pour son bien. La souffrance par la souffrance. Elle l'avait voulue. Après un instant où je l'avais regardé peiner à essayer de retrouver ses esprits, sous les lambeaux de douleurs qu'elle était, je lui tendais une main pour l'aider à se relever, qu'elle s'empara de la sienne ensanglantée. Voyant cela, elle se recula, comme si elle ne voulait pas me souiller de son sang. Que j'avais fait naître à ma s'excuse puis me dit qu'elle doit le faire seule. Je la voyais tremblante, marquée par la souffrance qu'elle avait endurée, peiner, à se relever. De pas chancelants, elle se rattrapa à un arbre proche qui accueillit son sang en plus de sa fragilité. J'observais celle qui avait été mon élève, affaiblie, meurtrie, à tel point que je me demandais si ce qui venait de se passer n'avais pas tout changé. Si elle n'était pas devenue une victime et moi pour elle un danger, voir un inconnu. Je lui avais offert la douleur, sans aucune garantie que je serais en sécurité si elle venait à être interrogée. Et mon regard se perdait sur sa silhouette, sur son sang, sans qu'aucun mot ne me vienne. Qu'y avait-il à dire ? J'étais un mage noir, elle savait à quoi s'en tenir en me demandant cela. C'est la raison que j'avais maintenant. - La douleur forge la vie...J'allais ramasser sa baguette qui trainait toujours au sol où je l'avais laissée. Je ne pouvais la laisser regagner le château dans cet état. Ce qui venait de se passer devait rester entre elle et moi. Et son état ne devait alerter personne. Alors je lui envoyais deux sortilèges curatifs, un Curo As Velnus suivi d'un Episkey, pour stopper le sang et la remettre à peu près dans un état convenable qui ne trahirait pas forcément ce qu'elle avait subi. Je la regardais reprendre son souffle, un regard indifférent sur le visage. Elle m'en voudrait certainement, mais elle l'avait dit, c'était une nécessité. Je lui tendais sa baguette, sans un sourire pour celle que j'avais entrainé vers la magie Tu dois retourner au château... Tu dois te reposer de tout ça...Je n'étais pas désolé. Je n'avais pas mal pour elle. Le fond de mon âme ancrée à une colère étrange, à cette envie que de protéger mon Ordre serait toujours plus important que quiconque. Et que peu importait que j'aie été son mentor, cette vérité prévaudrait toujours. - La vérité forge la douleur... murmurais-je pour moi-même, convaincu maintenant que j'avais fait le bon choix. Et j'ouvrais la marche pour repartir vers le château dans les ombres de la forêt, la laissant se débrouiller, et tant pis si ses jambes ne pouvaient la porter. Elle était seule. Jacob G. KenwaySerdaigle RPJacob G. Kenway, le Jeu 5 Oct - 1802 Dialectique féraleft. Ciarán A. Merrow Les notes du piano me parviennent comme une esquisse de flamand rose dans les oreilles d'un orang-outan. – Off Screen – Voix française, accent anglais. Ton formel. Le calme dans la nuit est installée depuis très longtemps déjà, je n'ai pas d'idée d'où je suis. Je sais simplement que je me trouve au beau milieu de la forêt, perdu entre les cimes et les lucioles, le cœur vulnérable au vent et à la folie d'une bête déchaînée. Oui, la lune se tient haute ce soir et elle m'observe. Elle m'observe avec un grand sourire car elle sait que j'ai souffert le pris de mon éveil. Awakening. Pourquoi ne suis-je pas chez moi ? Pourquoi ne suis-je pas dans ma forteresse ? Pourquoi ne suis-je pas sur mon trône dans mon enclos royal fait de marbre et de deuil ? Je ne sais pas. Ce n'est pas la vraie vie. Ce n'est qu'un rêve. Je sais juste que ce qu'il se passe en ce moment c’est ce que j'ai de plus honnête et pur à nous offrir. Mes pattes frottent le sol; j'accours. Je me trouve loin de chez moi et j'ai la gueule ensanglantée. Frustration. Mon cœur bat à tout rompre et pas même la main glacée de ma maîtresse céleste agrippée à lui, est capable de l’apaiser. Cours. Fuis. Pourchasse. A sens inverse, je poursuis une ombre que je ne saurai rattraper. La gamine qui vient de se faire mordre ne devait pas être là, et je m’étais déjà nourri. Mais la lycanthropie vient avec le luxe d'un regret qui ne prend effet après plusieurs heures. Comme un soir de beuverie, comme une futilité qui a pu nous faire ne veut rien dire. constate que mes muscles me permettent de bondir bien plus loin, d'avancer bien plus vite. Je me sens plus présent et plus vivant. Je stoppe. Un arbre, les traces d'une créature que je ne connais pas. Un nouveau diner ? Un compagnon inné ? Cours, poursuis. Mes babines sont retroussées, ma langue se balance à l'air et je laisse mon odorat me guider. Si mes yeux distinguent plus facilement les ombres et les contrastes mon odorat est poussé et me permet de voir à trois cent soixante degré. Mais ça n'est rien comparé à ce que je goûte et déguste. Mon odorat a rendu mes yeux curieux ; la vue de ce monstre entre deux arbres et cinq racines font saliver mes babines. Mes dents brûlent d'un besoin de voir. Elles veulent voir de quoi sa chair est faite, si elle est douce et chaude, froide et sèche, fade et insipide, mes dents ont faim de savoir. Et bien, apprenez mes chères dents et goûtez car voilà venu l'heure de souper. – Slow motion –Les pupilles brillent d'un éclat de fureur. Les pattes avant du lycanthrope sont bien trop humaines comparées à celle de n'importe quel autre loup-garou. L'appuie qu'il a pris sur ses jambes lui permettent de bondir haut et loin. Ballet morbide. Ciarán A. MerrowSerdaigle Re Rendez-vous au fond de la forêtCiarán A. Merrow, le Dim 8 Oct - 1655 J'ai toujours préféré vivre le soir. Au moment où le ciel perd son bleu naturel. Où les rues se vident, et les coeurs aussi. Quand la nuit se fait profonde, douce et sombre à la fois. Être éveillée quand tous les autres corps alentours sont endormis me donne toujours le sentiment d'être plus vivante que jamais. Et parfois même, la lune se joint à moi et caresse les rideaux de ma chambre au rythme lent des notes de piano que j’imagine. L'astre éclaire les visages paisibles, veille au grain sur ces organes internes, les observe silencieusement se libérer de toute douleur. Les notes de piano s'intensifient. L’espace d’une nuit, on se sentirait presque invincible. If I told you what I was,Would you turn your back on me?Parfois, même la douceur de la nuit échoue à calmer. Ce soir-là était donc l’un de ces soirs où rien n’allait. Un de ces soirs où l'inconscient sait pertinemment que seul le sommeil pourrait calmer, portant dans ses bras l’aube d’un jour nouveau. L’un de ces soirs où, pourtant, il refusait de se montrer. Mes membres humains ne cessaient de se mouvoir dans un linceul pâle, et mes yeux refusaient de se fermer, bien trop troublés par le bruit de mon coeur d’humeur tapageur. Je me sentais opprimée. Esseulée. Désordonnée. Ever since I could remember,Everything inside of me,Just wanted to fit moi, la symphonie de mes sentiments se faisait grave, incessante. Il fallait que je fasse quelque chose pour m’épuiser, pour éreinter le concerto de mon existence. Il fallait que je sorte, là où même la lune ne pourrait me retrouver. Dans la forêt interdite, même son courage n’osait pas s’aventurer. Les arbres étaient trop réticents à laisser ses rayons passer, préférant garder pour eux les secrets qu’ils observaient, prohibés. L’obscurité régnait en maître dans la sylve. Et justement, j’étais d’humeur sinistre ce soir. À l’intérieur, comme à l’extérieur, un grand voile noir flottait dans le souffle de la faible brise des ténèbres. J’avais failli tuer une élève, aujourd’hui. J’avais contenu de toutes mes forces le monstre qui sommeillait en moi. A monster. A monster, I've turned into a monster. And it keeps getting ce soir dans ce perchis dense, je laissais mes ailes fragiles et abimées chanter sous ma peau, aux abords de ma colonne vertébrale, dans le haut de mon dos. Un hurlement terrifiant s’échappa de ma gorge, tant la douleur était grande. Tant le soulagement d’enfin laisser parler celle que j’étais vraiment était immense. Ma peau pourrissait à mesure que les secondes passaient. Chacune des parcelles de mon enveloppe se couvrait d’écailles visqueuses, faisant disparaître cette mascarade sans aucun défaut que je portais quotidiennement comme un fardeau. Entre mes doigts, un supplément de peau apparaissait, reliant chacune de mes phalanges un peu plus près de sa voisine. Et ma bouche, d’habitude si pulpeuse et rose, s’affaça pour laisser place à un bec crochu, verdâtre et pointu, dans une mélodie taciturne. Sous la paume de mes mains, douloureusement recourbées, aux ongles longs et épais, je sentais un feu puissant s’embraser. Je ne me sentais plus humaine. Je pouvais finalement laisser parler ce que je réprimais au quotidien. La souffrance n’était plus. J’étais enfin moi. And if I seem dangerous,Would you be scared?Mon ouïe est plus sensible. Autour de moi, des centaines de créatures de tous horizons se mettent à crier leur détresse. Il y a aussi ce rythme singulier qui se rapproche. Boum, boum. Des pas sur le sol dur et terreux de la forêt, que les arbres se donnent tant de mal à cacher. Cet humus qui ne voit jamais le soleil, humide et puant. Boum, boum. Les feuilles volent à son passage. Les notes de piano deviennent sourdes et muettes. Boum, boum. Les violons prennent le relai, dans un effort grave et sonore. Boum, boum. Ce ne sont pas des pas qui se rapprochent. Boum, taking a stand to escape what's inside me retourne. Je ne vois plus que des canines ensanglantées qui crèvent d’envie de trancher mon visage déformé par la haine et la colère. Des pattes humaines et salies qui voudraient décapiter ma tête, tout ce qui me permet d’encore penser. Do I have to run and hide?Le monstre en moi ne peut pas s’en empêcher. Je ne suis pas sur la défensive. Je n’ai pas peur. Que pourrait-il m’arriver? Je suis moi-même. Dans mon état le plus brut. Je n’ai pas à me défendre. Je dois l’attaquer, à l’image de ces Hommes qui me tuent un peu plus jour après jour, me croyant joyau quand je ne suis que pierre. Me pensant femme quand je ne suis que gardienne d’épave. M’imaginant belle quand je ne suis que laideur. Hurlement dans la nuit. I never said that I want thisThis burden came to meAnd it's made its home inside—D’un geste gracieux et rapide, les serres brulantes et épaisses de Ciarán se libèrent du brasier qui les consume. La boule de feu jaillissant d'elle éblouit les troncs alentours et crépite dans le silence de plomb. Danse putride. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forêtMadilyn Nebulo, le Dim 28 Jan - 1907 pv jaceUne petite balade nocturne. Ce soir tu t'es évadé de ton dortoir. Ouais. Encore. Mais cette nuit c'est plus les cauchemars, pour une fois. Une sensation d'étouffement, envie d'aventure, t'as fui. Et t'as choisi la forêt. Tu connais pas bien, pis y a cette espèce d'appel qu'elle te lance, fascinante, t'as besoin de cette atmosphère d'interdit qu'elle t'offre. Du danger. De la solitude. Et la nature, sinistre de nuit. Parfait. Ce soir y a pas beaucoup de lumière, même pas du tout. Les étoiles sont floues, et la lune capricieuse se faufile derrière les nébulosités nuageuses. Elle joue avec toi, de toute façon ce soir tu vas jouer. Aventurer. Essayer. Transgresser. T' devrais sûrement avoir peur, mais non, bien sûr. Toutes les créatures qui grouillent là-dedans, tu les attends ! Tu es venue les chercher !Tu marches lentement, cherchant ton chemin dans l'obscurité totale. Les feuilles mortes craquent. Le vent murmure. Le froid te pique un peu. Mais c'est pas grave. Tu marches. Ton instinct te guide, c'est très cérémonial, cette progression dans le silence, mais l'adrénaline fait le puisUn cliquetisMécaniquePerçant le doux silence nocturneUn bruit qui ressembleA la mortTu te retournes lentement. Une ombre, pattes graciles et velues, aux huit yeux brillants. Et ce cliquetis. La panique s'empare de toi. Au début, tu restes figée, incapable de bouger, d'émettre le moindre son, de réagir, de fuir. Tes pensées sont paralysées, t'es plus qu'une coquille, une coquille remplie, pleine de puis tu cries. Un cri primal, cri de détresse, humain, chargé de cette véritable épouvante infinie qui te saisit. C'est le cri du lion, du nouveau-né. Les larmes se déversent en torrents sur tes joues. Et cette chose qui s'avance lentement vers toi, comme pour mieux se délecter de ta panique intense. Tu hurles et tu pleures, tu meurs et tu jambes se dérobent sous toi, et tu tombes à terre, sans parvenir à te relever. Ton esprit est pétrifié. Tu n'as plus aucune autre arme que tes mains, risiblement brandies devant toi comme en une dernière supplique. Tu hoquettes, tousses et voulais juste un peu d'aventure... Invité Re Rendez-vous au fond de la forêtInvité, le Dim 28 Jan - 1940 Parce que la nuit est sombre et pleine de avec LA sortie une nuit au clair de Lune comme à la mauvaise habitude que j'ai prise durant ses cinq dernières années, ce soir là j'avais fait un petit détour dans les cuisines pour récupérer une pomme avant de sortir du château et me posé contre un arbre. Malheureusement je ne pouvais profiter pleinement du ciel étoilé et de l'astre glacial dans l'infinité de la nuit, les nuages... Je soupir un instant c'est bien dommage j'avais besoin de respirer ce soir, je m'étais relevé pour commencer mon voyage retour jusque dans les cachots avant d'entendre un cri. Un long cri qui me fit frisonner l'échine, mon corps décide de bouger de lui-même sortant ma baguette de ma poche et lançant un Lumos je cours en direction de la source du bruit, la forêt est vaste et connaître la position exacte du cri s'avère compliqué...Un autre cri beaucoup plus proche ! Je suis dans la bonne direction je reprends alors ma course et arrive juste à temps visiblement ! Une acromentule était très proche d'une jeune fille que je ne connaissais pas, mais grâce à mon Lumos j'ai réussi à détourner l'attention de l'araignée. Vachement effrayante comme créature cependant je connais le sortilège qui peut m'en débarrasser, je m'approche alors du monstre baguette pointé en sa Exumaï !Un rayon de lumière bleutée se dégage de ma baguette avant de frapper de plein fouet l'acromentule qui se fait propulser quelques mètres plus loin. Le sortilège ne l'a pas tué pour autant je m'apprête alors à lancer une seconde salve avant de la voir détalée dans un bruit des plus horribles... Je reste quelques secondes toujours baguette levée tournant la tête dans tous les sens, ce serait dommage que j'en attire d' ma baguette dans ma main gauche je m'approche de la jeune fille qui était restée au sol et lui tend ma main droite pour qu'elle la prenne et qu'elle se va tu n'es pas blessée ?J'avais toujours mon Lumos d'activé on ne sait jamais si quelques choses d'autres arrivent on le saura assez vite, j'espère juste ne pas croiser de loup-garou ce serait sacrément bête... Je n'ai pas spécialement l'envie de devenir un lycanthrope. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forêtMadilyn Nebulo, le Dim 4 Fév - 1654 Une lumière dans la nuit. Un éclair. Qui zèbre l'obscurité. Une silhouette floue, rapide, qui se dresse d'un seul coup devant la créature, et ces deux mots hurlés Arania Exumaï !Etincelles bleues, t'es éblouie, l'espace d'un instant t'y vois plus rien, tu paniques, puis ça revient doucement. Les images, les couleurs. Et cet écho si lourd qui retentit comme un compte à rebours. Ton pouls. Qui résonne en toi comme un rappel du danger, de ta peur de ta faiblesse. Tu n'es plus aveugle, maintenant, mais muette. Le brouillard s'ôte de tes pupilles et tu prends conscience de la présence d'un garçon juste là. Et tu réalisesC'est luiLa silhouetteLe sortLe sauvetageC'est luije... je crois... mais... cette peur...Toujours à terre, entre tes larmes, pantin de l'adrénaline, tu suffoques. Peu à peu tu t'habitues mieux à la lumière et retrouves toutes tes capacités visuelles. Tu le vois et il te voit. Ton coeur bat de plus est si beau... Eclairé par sa baguette, l'air inquiet, mais rassurant. Tu n'es pas si naïve, tu sais que tu offres un misérable spectacle, toute rouge et larmoyante. Mais... lui. Ton regard s'accroche au sien et tu ne parviens plus à t'en détacher. Un magnétisme, une force obscure dans ses yeux si hypnotiques. Tu parviens à peine à je crois que c'est ma cheville... La douleur t'arrache de nouveau des larmes, mais tu n'y prêtes plus attention, obnubilée par cet être, cette aura, cette chaleur. Immobile, médusée, tu restes suspendue à lui tout entier. Tu te sens sombrer... Et cet écho...boum boumboum boumboum boum Invité Re Rendez-vous au fond de la forêtInvité, le Sam 10 Fév - 2304 LA de as le miens si fois que je me retrouve face à elle, je constate qu'elle a toujours les yeux fermer j'ai un petit sourire amusé qui s'affiche sur mon visage, espérons qu'elle fût juste éblouie avoir les yeux fermers en pleine forêt ce n'est pas une bonne idée. Après quelques secondes elle m'explique qu'elle a eu très peur je peux comprendre je n'ai pas spécialement peur des araignées mais une acromentule ce n'est jamais un plaisir à voir. Avec la lumière de mon Lumos je vois qu'elle essaye de reprendre son souffle et qu'elle a encore quelques larmes sur ses joues, visiblement elle a remarqué que je la regardais elle semble accrochée à mon regard. À me fixer comme ça je me sens légèrement mal à l'aise et je passe ma main dans mes cheveux avec un sourire gêné quel idiot...Elle tente finalement de se relever mais reste au sol en mentionnant sa cheville, je m'agenouille alors à côté d'elle prenant délicatement son mollet et pointant ma baguette vers celui-ci, je ne suis pas medicomage mais je suppose qu'elle s'est peut-être foulée la cheville. Je tourne de nouveau la tête vers elle et constate qu'elle a fermé les yeux... M*rde ! Son état de choc la mise K. O, très mauvaise idée de la soulager ici me mettant à sa hauteur je la prends dans mes bras et l'emmène à l'extérieur de la fois en sécurité je la pose assise contre un arbre et retourne à son mollet que je prends délicatement à nouveau, baguette à nouveau pointée sur celui-ci je prononce doucement un Curo As Velnus, me permettant de lui retirer sa chaussure je lance un Ferula pour que toute sa cheville soit prise dans un bandage pour maintenir le tout en place avant de la lui remettre délicatement. Une fois tout ça fait je me place à côté d' je bascule ma tête en arrière et essaye de nouveau de voir les étoiles ainsi que la lune, quelle soirée moi qui penser que ça allez être tranquille au final je sauve une jeune fille d'une acromentule et voilà que je me mets à la soignée, j'ai l'habitude de blesser les gens par des soigners... Ça fait un drôle d'effet...-J'espère que nous n'allons pas passer la soirée à la belle étoile... Je n'ai pas prévu de sac de couchage et encore moins de couverture. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forêtMadilyn Nebulo, le Sam 17 Fév - 1847 LA mutuels pour tout le RPLe timbre chaud de sa voix te réveille, Belle au bois dormant revient d'entre les morts. Et puis tu sens sa présence, son corps tout près du tien, ses mains, ses yeux. Ses yeux....Le silence vous recouvre de son doux écrin, seules les étoiles vous regardent, belles indiscrètes, et le rictus de la lune se reflète à l'infini dans ta rétine. La blancheur radieuse de l'astre sélénite jette une larme sur vous deux, t'offrant une parcelle d'image de son sourire, fugace capture, instant dans ta mémoire. Tu le regardes longtemps, sans qu'il le sache, tant qu'il croit que tu es encore endormie. Il est beau quand il se croit seul...Œillade volée, souvenirs de lui collectés, un béguin, sauveur éphémère, un amour qui mourra sûrement avec l'évanouissement de la rediriges ton regard vers les scintillantes, perles de jour dans l'ombre. Elles vous admirent silencieuses, et vous leur rendez la pareille, d'égal à égal avec l'immensité, vous surplombez le étoiles nous protégeront, et le ciel nous couvrira...Cette fois vos regards se croisent. Se chassent. Se choquent. S'attirent. Et se fondent l'un dans l' intense forgé dans le tu veuxTu veux être l'oiseau qui transcende l'abîme, vol veux être l'arc-en-ciel qui sublime la volupté onctueuse de son soleil qui illumine un peu plus la couleur de sa voûte, son juste un point de silencieuse, belle ton pouls tempête, diluvien, éclairs, orage, cyclone, flaque, trombes, averses. T'es toute trempée, tu nages, et tu suffoques, l'océan bleu te domine, et la vague t'a balayée, alors... tu succombes à l' tes lèvres se posent sur les siennes, délicates, papillon sur une fleur. Tes bras se déploient pour l'entourer, et tes doigts plongent dans ses cheveux. Reste. Reste avec tu deviens géante rouge, la fièvre t'attaque, et tu le resserres encore contre toi, tes yeux clos, tu fais confiance à tes autres sens pour saisir le moments et les sensations. Tes lèvres le visitent, sa peau veloutée, son cou vers lequel elles dérivent, tu l'explores, tu t'explores, tu cherches, et tu trouves. Tes mouvements sont lents, délicatesse, tu le goûtes et tu t'écartes un instant. Reprend ton souffle. Mordille ta lèvre inférieure. Puis la vent s'est levé, et tu te fais plus intense, tu agrippes à lui, et ne veux plus t'en décrocher. te redresses et t'assois sur l'herbe, le tire légèrement à faire de même, à l'attirer vers toi aussi, imperceptiblement. Ton cœur résonne toujours, exulté. Un dernier regard vers les étoiles complices avent de replonger vers lui. Tu lui as montré ta lumière. Tu prends sa main et la poses sur ta joue, chaque fragment de ton épiderme est en éveil, et n'attend que lui et le retour de la vague. A toi. Invité Re Rendez-vous au fond de la forêtInvité, le Sam 17 Fév - 2008 TW Attouchement et baiser coquinJe ne sais pas combien de temps il sait écouler avant que la douce voix de la jolie créature a la crinière de feu ne transperce le silence de la nuit, alors je la regarde avec un agréable sourire. Elle n'a pas l'air d'avoir mal c'est le principal mais répond à ma phrase que j'ai dite il y a quelques minutes. Donc elle était déjà réveillé petite espionne, je tourne alors ma tête vers elle et je croise son regard, non c'est faux... Je ne croise pas son regard mais je plonge dedans tel dans un trou noir, elle a une petite étincelle qui m'appelle sans que je ne sache pourquoi. Pourquoi ? Pourquoi me fixes-tu autant et pourquoi je te fixe autant... Je cligne des yeux avant d'ouvrir la bouche et de te dire fait je me su...Pas le temps de finir ma phrase que la jeune fille se jette sur moi posant ses lèvres contre les miennes d'une délicatesse que je n'ai jamais connue... Je ne réagis pas tout de suite laisse mon oeil ouvert de stupéfaction elle en revanche a l'air d'énormément apprécier alors qu'elle passe ses bras autour de moi et de plonger ses mains dans mes cheveux fermant alors mes yeux je profite de la situation, agréable, un immense brasier brûle alors au fond de mon être, me poussant à vouloir plus encore et encore comme une soif insatiable. Elle commence alors à embrasser mon cou contact qui me recouvre de frisson, je lui mordille le cou très rapidement avant de lui dire dans un léger dangereux jeune s'écarte alors légèrement, se redresse et mon instinct primaire prend le contrôle de mon être en lui attrapant la main et l'installant à califourchon contre moi, sentir son corps brûlant... Ta main gauche glisse le long de sa cuisse sous sa jupe pour remonter jusqu'à son fessier, alors que ta main droite glisse le long de son dos pour se placer à sa nuque relevant sa tête alors que tu glisses ta langue le long de son cou avant d'embrasser cette fine partie de m'as donné "faim" tu en as conscience j' l'embrasse langoureusement avant de la regarder avec un sourire amusé mes mains toujours à leur rencontres avec toi ce passe toujours comme ça ? J'ai hâte de te rencontrer à nouveau demain dans ce cas. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forêtMadilyn Nebulo, le Ven 23 Fév - 1933 TW contenu sensibleVos corps se meuvent à l’unisson, chorégraphie sous l’obscurité complice, pimentant l’instantané. D’abord pris de court, l’être désiré se prend au jeu, et s’y prend bien... La bête s’éveille et ta peau rugit au contact de ses lèvres, ses dents, sa bouche sur ton cou et son épiderme fin. Tu fermes les yeux et bascules la tête en arrière, voulant qu’il humecte chacun des grains de ta peau, sensation enivrante, tu t’embrases et il t’embrasse tant et tant que tu veux t’engouffrer toute entière dans ces lèvres si pures, si belles. Tu respires rapidement, quelques tremblements te prennent, tu veux sombrer, sombrer plus encore. Sombrer...Tu te replonges dans son regard et tentes de contenir cette lave, ce brasier en toi, qui s’empare de toi et qui t’effraie, ce brasier d’envie bouillonnante. Tu te mords la lèvre inférieure en le regardant. Tu te détournes un instant avant de revenir vers ce regard incendiaire, comme aimantée par cette chaleur qui provient de sa peau et qui est si présente en toi aussi...C'est dangereux jeune fille...Et aujourd'hui tu as envie de danger. Mourir s'il le faut. Pour lui, pour ce moment...Je sais...Sa main attrape la tienne, éveillant toujours plus de flammes en toi, crépitantes et dévorantes. Alors en un mouvement délié il t'installe à cheval sur lui, et tu imploses, tu t'abandonnes à lui, plongeant ta tête dans son cou, et l'embrassant à l'infini, léchant, mordillant. Tes mains le caressent doucement...Ses mouvements se font rapides et tandis que ses doigts se font tes maîtres, te domptant et te possédant tout en t'accrochant la nuque pour offrir ton cou gracile à sa langue, l'autre main s'aventure sous ta jupe, caressant tes formes en feu, ta respiration Sébastien sait plus affolée encore, et d'un coup sec tu saisis son col. Tu joues avec un moment avant de l'agripper violemment et de l'attirer à toi, toute en t'embrasse longuement, des deux dartfifi e inconnus explosent partout en toi, on dirait presque que tu meurs alors qu'en fait tu vis plus que jamais. Tu laisses ta langue laser jusqu'à son cou et à peine plus bas. Pendant ce temps ton bassin s'affole et tu le fais dangereusement tanguer, mouvements lents, dans lascive. Tu te frottes àlui en ondulant tes hanches, et explores plus haut en tirant sur ce col tortuonnaire pour explorer plus en profondeur son torse bouillant avec les doigts et les a faim ? Très bien dans ce cas, à table... Invité Re Rendez-vous au fond de la forêtInvité, le Lun 26 Fév - 1150 La nymphe a la chevelure de feu est très belle et dangereuse, ses baisers sur mes lèvres et mon cou me font perdre toute résistance je veux plus encore et encore plus. Elle sait que c'est dangereux, je pourrais la briser comme une poupée de porcelaine mais quelque chose en elle me fait prouver le contraire, serais-tu une Succube ma douce ? Je ne sais guère, je sais simplement qu'elle a envie de moi et que j'ai envie d'elle. Ses mouvements contre moi provoquent chez moi une réaction immédiate serrant ma prise sur elle et dans un mouvement, je la fais s'installer dos à moi glissant mes mains sous son chemisier lui embrassant le cou pour qu'au final. Je la bascule sur le côté pour me permettre de me relever et de bien replacer mes la regarde elle semble surprise, léchant mes lèvres supérieures et inférieures pour en récupérer le moindre petit nectar de ses lèvres et de son goût je la regarde avec un petit ma douce Nymphe. Mais ce n'est pas l'endroit idéal pour ça... Je m'approche d'elle pour la prendre par en-dessous des bras et la remettre debout à son tour et de la regarder dans les yeux voir correctement sa chevelure de feu sous le regard glacial de la revanche j'ai très hâte de te revoir si tu es d' mes mains jusqu'à sa taille je lui embrasse tendrement la joue avant de lui susurrer à l'oreille tel un serpent que je peux m'appeler Jace. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forêtMadilyn Nebulo, le Dim 4 Mar - 1825 Il te serre plus fort encore, et tu voudrais t'abandonner toute entière à lui, tu voudrais ne jamais quitter ces bras enjôleurs, faiseurs de paradis et de sensations parfaites. Tu voudrais que vous ne vous lâchiez jamais, tu rêves de le séduire toute la vie, le posséder toujours, et conserver éternellement ce moment de volupté. Gestes fluides, tu bascules à nouveau entre ses mains agiles, pour te retrouver dos à lui, sans pour autant lâcher son crâne ni arracher tes lèvres à son cou et à sa peau délicieuse, tes yeux toujours clos, et ce volcan explosant toujours en toi, doigts glissent sur ta peau fiévreuse et ses lèvres sur ton cou, en mille feux d'artifices, tu aimerais tant que ses mains continuent à modeler ce plaisir incomparable, qu'elles continuent à décrire tes désirs. Tu n'aurais jamais cru les corps et le charnel si puissants, mais ce soir ils le sont tellement que tu n'es plus qu'un corps vibrant d'envies yeux plongent dans les tiens encore une fois, et tu t'empares de son visage pour le faire tien, caressant sa peau et ses lèvres avant de sourire, toi aussi. Tu veux pouvoir me rappeler de lui tout ma douce Nymphe. Mais ce n'est pas l'endroit idéal pour ça...Mille épines et aiguilles dans ton cœur qu'on arrache comme on t'arrache à lui. Et pourtant tu comprends et tu sais qu'il a raison. Mais c'est si dur... Tu dissimules ta déception bien réelle derrière une moue boudeuse destinée à le faire succomber encore aux charmes de sa Nymphe. Tu sais qu'il ne céderas pas mais tant pis. Te bercer encore dans l'illusion...-En revanche j'ai très hâte de te revoir si tu es d' réussit à t'arracher un sourire, et tu passes tes bras autour de ses épaules en pressant ostensiblement ta poitrine contre la comment... Je me languis déjà de toi...Tu prononces ces mots d'une voix charmeuse, et tu les ponctues en te léchant les lèvres, dépose un baiser sur ta joue, et murmure à ton peux m'appeler plantes ton regard dans le sien, farouche. Alors c'est le nom de cette si délicieuse créature...Je suis tu t'enfuis, légère, laissant derrière toi un dernier baiser intense et langoureux. Max ValdrakSerdaigle Re Rendez-vous au fond de la forêtMax Valdrak, le Mer 23 Mai - 1518 Un peu plus de deux mois sans réponse[RP Unique]Une nouvelle pageMoment d'évasion. Moment hors du temps. Fuir seul mot dominant. Fuite de la réalité et des problèmes liés. Fuite de tout et de tout le monde. Fuite pour ne pas faire de mal et ne pas avoir mal. Implosion en cours. Des pensées plus présentes. Des mots qui tendent à disparaitre. Revenu d'un bond en une question. Une simple interrogation. Une courte évocation. Entretien au ministère. Alors que la pente tendait à se rapide. Esprit perdu. Ne sachant quoi faire. Je m'évadais. L'esprit et le corps. Dans la nature. Forme animal de mise. Je ne cherchais pas à comprendre où j'allais. Ni même à retenir le chemin que j'empruntais. J'en avais besoin. Juste me sentir de ces chaines du passé qui se jetteront sur moi dès que je m’arrêterais. Non je devais pas. Seulement quand la fatigue sera trop grande. Que mes jambes ne voudront plus avancer. Plus me porter. Contrainte alors à m’arrêter. En attendant, je grimpais, sautais, tombais, courais. Ralentissant petit à souffle venait à manquer. Pause obligée pour le reprendre. Sans même me soucier de mon environnement. Je m'assis au pied d'un arbre. Regardant ses hautes branches. Tenant mon esprit occupé tandis que mon corps lui se reposait. Tandis que...Bruit. Réflexe. Mouvement. Griffée. Retransformée. Humain face à l'animal sauvage qui venait d'attaquer. Raison inconnue. Nouvelle attaque. Au même moment, sortie de la baguette. Bestia domin...Un seul des deux réussi son coup. Les gouttes de sang sur le sol rejoignant la baguette ne laissant que peu de place à aucun doute. Perdue. Quadrupède trop proche du visage. Aucune place à la réflexion. Je ne réfléchissais plus. Quelques instincts toujours présents. Des réflexes d'il y a longtemps. Main non touché attrapant la première garde dans la poche. Un poignard. Premier Debout. Un partout. Balle au centre. Il ne partit pas pour autant. La fatigue. La tristesse. La colère. Tout accumulés j'avais du mal à penser. De réfléchir à une vraie solution. Je ne me maitrisais plus. Figée par la peur et la douleur. Mode automatique enclenché depuis quelques jours sans même savoir pourquoi exactement. Des nerfs à vif. aux yeux. Pourquoi moi? Je ne savais pas. Je ne voulais pas et pourtant la vie en avait décidé autrement. Le hasard, les coïncidences n'étaient pas vraiment de mon côté. Je sentais que c'était fini quand l'animal sauta. Figée. Arme en avant. Tout allait donc se finir maintenant. Yeux dans les yeux. Rapprochement. Choc. Claquage de mâchoire. Hurlement. Puis soudain plus un bruit. Plus un ce vraiment la fin? Pas de noir? Pas de lumière? Test. répondant aux signaux. Et si...Pensées envolées. Corps de l'animal sur moi, poussé sur le côté. Il était trop tard pour lui. Puis la dure réalité. Un de nous respirait toujours. Non je n'avais pas...Si. Mon couteau dans son ventre. Je ne comprenais pas. Comme si tout ce temps ce n'était pas moi. Redescente sur Terre rapide. Des larmes. Assise près du corps. M'excusant mais il était trop tard. Je ne savais pas combien de temps, je restais ainsi bloquée. Je savais juste ce qui m'avait réveillée. Deux louveteaux qui tournaient autour de mon voisin. Deux enfants qui venaient d'arriver. Constat encore plus dur. Une louve. Comment avais-je pu être aussi aveugle? Une mère de deux très jeunes petits. Elle cherchait sûrement juste à les protéger. Je me sentais encore plus insensée venant d'être prise. Rox et Rouky arrivant. Inquiets restant près de moi. Regard vers le bras meurtri. Puis venant au plus près. Montrant leur attention. Comme s'ils me cherchaient depuis un moment. Un regard vers eux. Un vers les petits. Je ne pouvais pas les laisser ici. S'il leur arrivait quelque chose je ne pourrais me le pardonner. Je promis alors au corps de la mère de prendre soin des enfants. Je tentais alors de les prendre. Mais l'odeur de sang semblait les repousser à moins que cela ne soit que moi. Ils étaient tellement jeunes. Rox et Rouky s'approchèrent alors. En prirent un chacun. Aucun ne dit rien. Ils étaient bien calmes. Je ne savais comment remercier mes deux amis. Maintenant il nous fallait rentrer. Soigner mes plaies. Quelque chose me disait que cela n'était peut être pas un hasard mais un signe. Signe de changement. Et si...Fin Max ValdrakSerdaigle Re Rendez-vous au fond de la forêtMax Valdrak, le Mer 8 Aoû - 1615 Une bombe à retardementAvec Aidan CrayCheval pétrifié. Comment quelqu’un avait pu oser? Cheval pétrifié. Je me sentais basculer. Cheval pétrifié. Ces mots n’arrêtaient pas de tourner. Cheval pétrifié. N’était-ce pas une peur pour soi plus que pour l’animal? Cheval pétrifié. Maintenant je me devais de le ramener. Cheval pétrifié. Personne pour aider. Cheval pétrifié. Je me retenais de hurler. Après avoir trouvé foyer pour l’animal. Le sachant maintenant entre de bonnes mains je pouvais rentrer. Ne poser. Réfléchir. Repenser aux événements passés. Ce n’était pas forcément grand-chose et pourtant. Ce n’était qu’un animal comme dirait certains et pourtant. C’était pour la bonne cause et pourtant. Et pourtant j’avais mal. J’avais mal pour lui comme j’avais mal pour moi. Non ce n’était pas pas grand-chose », tous les actes ont une importance et s’attaquer à un animal n’est pas excusable. C’était peut-être qu’ un animal » mais c’était aussi et surtout un être vivant. Non ce n’était pas pour la bonne cause, du côté de qui? Nous pensons toujours que nos actes sont bons mais le sont-ils vraiment? Je sentais quelque chose monter en moi. Quelque chose que je m’efforçais de cacher mais qui d’un coup voulait ressortir. Je pensais que ce feu ravageur avait fini par mourir. Tout cela n’était qu’illusion. Je n’étais faite avoir à m’auto assurer que tout allait mieux. Ce séjour en Suède ne m’avait pas réussi. Mon esprit ne voulait pas. Trop d’informations. Trop de tout. Dans la forêt je m’étais réfugiée. Contre un arbre j’avais frappé. Il n’avait rien demandé. Je m’excusais. Je m’excusais lorsque ma main craqua sous un impact. C’était trop. Les larmes rejoignirent le sol comme les gouttes de chaleur. Mais même avec la douleur anesthésiant mon bras je continue. Encore. A frapper. Pauvre arbre innocent. Je n’en pouvais plus. Tout cela qui bouillonnait. Pas de piliers, trop instable. Impossible de me montrer. Mère qui me comparait. Frère qui tentait de partager. L’inquiétude pour elle. Ce côté pas doué pour prendre des nouvelles. Ce masque qui me collait à la peau. Aider les autres était ce que je savais faire et encore, j’échouais. Garde-chasse. Garder une forêt pour un écureuil. Je n’y croyais toujours pas. J’avais trouvé un but mais l’avenir était toujours flou. Que faire? Je ne pouvais pas le dire. Je ne voulais pas inquiéter. Le confessionnal m’avait un peu aidé mais les cauchemars étaient revenus. Devais-je y retourner? A bout de force, je tombais à genoux. Trop de réflexions. Je ne savais pas gérer. Je me découvrais chaque jour une nouvelle peur, espace clos, abandon, la mort, le monde, moi, l’abandon… Abandon…comme à ma naissance. Pourquoi avait-elle fait ce choix ? Je la comprenais mais je n’arrivais pas quelque chose me le monde se mit à tourner. Tout devient flou. Je me sentais partir. La fatigue l’emportait toujours. Jackson EmerenzianaMinistère de la Magie Re Rendez-vous au fond de la forêtJackson Emerenziana, le Jeu 9 Aoû - 2000 LA MaxNon mais pétrifié un cheval quoi ! Il est fous le Directeur des Poufsouffles ! On ne pétrifie pas un cheval b*rdel ! C'est un animal respectueux le cheval ! Il fait confiance aux Hommes ! Et toi... toi... tu le pétrifie ! En plus j'ai même pas eu le temps de me faire pardonner auprès de la Garde-Chasse... C'est de ma faute tout ça en vrai ! Si j'était un bon Professeur jamais le cours ne se serait passer comme ça... Les derniers élèves partis et la classe rangé je descend en vitesse les escaliers, qui n'en font qu'à leurs têtes. Comme d'habitude de toute façon ! Et cela depuis des centaines d'années ! Maintenant direction la maison de Miss Valdrak, j'aimerais voir le Cheval, savoir s'il vas bien... Avec le choc de ce sort il a dû se faire mal... J'espère pas en tout cas, sinon Anthony vas m'entendre crier. Ah voilà la maison... Exactement la même quand j'était élève à Poudlard. Aucun cheval en vue, et personne à l'intérieur visiblement... Personne ne répond à mes appels. Bon je fait quoi maintenant ?Mais... qu'est ce que tu fait le toutou ? Mais... lâche mon pantalon ! Je regarde incrédule un chien partir à la lisière de la forêt puis revenir en aboyant. Tu veux que je te suive ? Un aboiement me répond avant que le chien ne reparte en courant. Ils sont intelligents ces animaux quand même... Plus que nous je dirais. EH MAIS ATTEND ! Je cours pas aussi vite que toi hein ! Oh bon sang... Mais il vas où comme ça ? On s'enfonce beaucoup trop ! J'vois plus rien là... Lumus Solem Et m*rde... Je cours et saute par dessus les branches avant de tomber à genoux devant Miss Valdrak. Ces mains sont en sang... Mon dieu... Qu'est-ce qu'on a fait ?!? Je regarde tout autour de moi, pas de cheval en vue, juste le chien qui pousse la tête de sa maîtresse en vain. Posant un doigt sur sa jugulaire je vérifie que son cœur bat toujours, ce qui est le cas. Je met ma baguette entre mes dents puis prend Miss Valdrak entre mes bras, je me lève en gardant la jeune femme contre moi. Si je la fait léviter je pourrais la cogner contre un arbre... Le chien de ma collègue passe devant moi pour me montrer le chemin, je le suis doucement, passant au dessus des racines et des troncs. Au bout de quelques minutes de marches, nous arrivons enfin à la lisière de la forêt, d'un Nox j'éteint ma baguette avant de m'approcher de la maison de Max, poussant la porte avec mon dos. Je pose délicatement la jeune femme sur son lit avant d'aller chercher un verre d'eau et une serviette quelconque. Je mouille son front afin de faire baisser la température de son corps vérifiant qu'elle respire toujours. Miss Waldrak ? Max ValdrakSerdaigle Re Rendez-vous au fond de la forêtMax Valdrak, le Mer 15 Aoû - 2223 - Papa, comme je suis contente de te voir. Regarde j’ai eu mes BUSES…- Oui c’est bien…Piètre en potion?- Désolée mais j’arrive pas en potion, je préfère les soins aux créatures magiques…- Et comment tu veux soigner les créatures si tu connais aucune potions c’est inadmissible- Maxilien c’est pas grave c’est juste…- Si c’est grave, ma fille se laisse distraire par des activités futiles et toi tu l’encourages- Elle est encore jeune laisse la s’évader***Du feu. Une brulure. Un sort qui avait touché une amie. Sort de soin pour réparer. Mais l’effet inverse. Je l’avais brulée. J’avais amplifié le sort. J’avais blessé en voulant aider. J’avais fait du mal. Je…***Lancer un reparo sur un vase fissuré. Le faire exploser. Vouloir faire voler un oiseau de papier. Le brûler. Ne plus vouloir utiliser la magie. Ne plus vouloir blesser. Ne plus vouloir faire du mal. Se sentir seule. Ne pas être à sa place. Tenter de faire de son mieux. Et juste tout louper…***Une lettre. Mise à la porte. Passer ses aspics sans dormir la nuit. Ecrire entre deux larmes. Partir sans prévenir. Regretter après. Faire les mauvais choix. Toujours les mauvais choix. Ne pas vouloir inquiéter. Se faire oublier. Mais ne pas oublier. Ressasser. Apprendre la mauvaise nouvelle. Vivre reculée du monde une année…***Uevenir sans masque. Revenir sans repères. Etre juste seule. Apprendre qu’on a un frère jumeau. Découvrir sa vraie mère. Se sentir étrangère. Ne réussir à rien faire. Passer ses soirées dans la forêt a se faire attaquer. Cacher ses cicatrises. Cacher…***J’ouvrais doucement les yeux. Quelque chose de froid était sur mon front. Ma tête me faisait mal. Mes mains me faisaient mal. Mon cœur me faisait mal. Je ne savais pas comment arrêter ces voix dans mon esprit. J’avais l’impression que les scènes des souvenirs se répétaient en boucle. J’avais l’impression que rien ne pouvait les faire s’arrêter. Juste de l’air. Je…De l’air. Je tournais difficilement la tête puis tentais de me redresser quand je vis une personne près de moi. Mon cœur s’accéléra. Il m’avait vu… Je… Non. Il ne devait pas… Rester cacher. Rester souriante. Je ne voulais pas que…Je me ravissais de me redresser pour le moment. Tentant simplement d’esquisser un sourire. Un faux sourire. Mais où étais-je? Je n’étais plus en forêt. Il m’avait donc vu et ramener. Comment? Pourquoi? Ma voix était partie et seuls quelques rares mots apparurent dans les Merci Aidan. Re Rendez-vous au fond de la forêtContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Leshabitants du village invoquaient gentiment Saint Hilaire sous le diminutif 'Ily'. Et comme tous les habitants parlaient le patois, ils disaient dans leur prière 'Sanch Ily, priez pour nous'. Est né ainsi le nom de 'Saint Chély'. (ville de Saint-Chély-d'Apcher) Sur le territoire des Gabales, après 535, saint Hilaire, évêque de Mende. 51 Commentaires J’essaye désespérément de trouver un recueil qui contient la Messe de la Trinité de JB Du Jonchay pourriez-vous m’indiquer où je peux le trouver ? Merci J’ai bien l’impression que cette œuvre n’est pas éditée. Avez-vous posé la question aux éditions du Carmel ? Bonjour, si vous cherchez toujours les partitions de la Messe de la Trinité, du Frère Jean Baptiste, je suis en mesure de vous les transmettre par mail. A. CLERC Allez sur Ed du Carmel recueil Dieu seul est Saint ! » ou à la Fnac ce sont les partitions de JB du Jonchay A la partition peut-êtr sur le site Exultet Bonjour, pourras-tu me faire parvenir la messe de la Trinité du Frère Jean-Baptiste. Mon mail patrickahouangonou Cordialement. Patrick AHOUANGONOU moi aussi je cherche partitions et CD de cette messe et n’obtiens aucun résultat vraiment valables !y a t-il un espoir qu’un jour elle soit éditée ?? Bonjour, si vous cherchez toujours ces partitions, je suis en mesure de vous les transmettre par e-mail. A. CLERC Bonjour, Avez-vous encore en votre possession les partitions de la messe de la Trinité du Frère Jean-Baptiste du Jonchay ? Si oui, accepteriez-vous de me les envoyer ? MERCI de votre réponse. Bonjour A. CLERC. Je suis à la recherche de la partition complète de la Messe de la Trinité. Mais apparemment, aucun site Exsultet, Chantons Eglise, Edition sud Carmel… n’a cette messe à sn catalogue…??? Savez-vous où j peux l’acheter ? Merci. BERLAND. Bonjour, je recherche sans succès les partitions du chant Adoro Te Devote du Frère JB du Jonchay. Si l’un des lecteurs de ce message les possède, je suis super preneur !! Merci ! Bonjour, je n’ai trouvé ce chant dans aucun des recueils édités par les éditions du Carmel. Salutation 🙂 Bonjour je cherche la partition de Rejouis-toi, eglise notre vous dans quel recueil je peux la trouver? Merci! Bonjour, Je n’ai pas trouvé ce chant dans les 4 recueils. Bonne journée 🙂 Bonjour à tous. Bonne nouvelle, un certain nombre de partitions du Fr. Jean-Baptiste existent également en version numérisée en téléchargement légal et payant sur eXultet. Récemment de nombreuses messes ont été ajoutées, notamment la messe de la Trinité Voir ici Cordialement. Gaëtan bonjour je cherche la partition du fr jean baptiste O pere infiniment bon » mais je ne la trouve pas. je serai reconnaissante si qlq un peut m’aider. merci bien et bonne journee bonjour Myriam après recherche dans nos recueil, nous ne l’avons pas trouvé donc je suis curieux de savoir aussi Bonjour, Merci pour votre site et les partitions très utiles. J’aime beaucoup votre interprétation et harmonisation, accompagnée à la guitare, de Seigneur Tu es ma force » la voix homme » est-elle improvisée ? J’ai de la peine à trouver cette voix sur la partition originale. Bien fraternellement. A. CLERC Bonjour, Je vous remercie pour vos remerciements. Pour répondre à votre question à mon souvenir c’est la partie ténor dans la partition. Fraternellement aussi. Alexandre R/ Ô Père infiniment bon, reçois notre vie maintenant, nous la déposons humblement dans l’offrande de Jésus ton Fils Bien –Aimé Tu es béni, Dieu de l’univers, nous te présentons ce pain que nous tenons de ta bonté. Il deviendra le Corps de jésus notre Sauveur en qui nous sommes transformés R/ Tu es béni, Dieu de l’univers, nous te présentons ce vin que nous tenons de ta bonté. Il deviendra le Sang de jésus notre Sauveur en qui nous sommes pardonnés R/ Bonjour, Je suis désespérément à la recherche d’une partition de Frère Jean-Baptiste du Jonchay. Règne à jamais, que j’ai trouvé interprété par la Chorale Anima de Rouen sur Youtube. J’ai suivi votre lien, mais malheureusement je ne l’ai pas trouvé. Savez-vous ou je pourrais me la procurer ? Je dois célébrer un mariage, le 15 août de cette année, et les mariés le voulait pour leur célébration. Merci d’avance pour toute réponse de votre part. Bonjour, je ne veux pas vous créer une fausse joie je n’ai pas la partition de Règne à jamais ». J’espère qu’avec ou sans, vous avez pu offrir une belle messe de mariage à vos amis. Et au cas où vous auriez finalement réussi à trouver ce chant que j’aime beaucoup, j’avais l’espoir que peut-être, vous pourriez me le partager ?? C’est rare d’avoir autant de mal à se procurer une partition ! En tout cas, merci de toute façon ! MBé Ah mais moi je l’ai! C’est quelqu’un de ce sit qui me l’a aimablement faite avec l’aide de puis-je faire pour vous la transmettre? Voici mon adresse mail envoyez-moi un mail et je vous l’enverrai sur le champ. Cordialement Je l’ai! il suffit de me dire comment vous la transmettre. Mon mail est dans le commentaire en dessous. Je suis exactement dans la même situation! Je cherche partout la partition de Règne à jamais » sans succès! Merci d’avance pour votre aide. Bonjour, je suis à la recherche de la partition de » Ô père infiniment bon » de Jean-Baptiste du Jonchay . Pouvez-vous m’aider. Cordialement. Pascaline Bonjour Nous cherchons la partition de Je vous salue Joseph quelqu’un aurait-il la possibilité de nous l’envoyer par mail ? Merci Je ne retrouve pas la mélodie … on dirait un autre Si c’est cet air là, apparemment il faudrait demander la partition ici prionssaintjoseph Si la partition vous intéresse toujours je l’avais demandée à cette adresse et je viens de la recevoir. Il faudrait donc m’indiquer comment vous la faire parvenir? bonjour oui je veux bien merci, pas scan ou photo lme merci beaucoup ! en fait c’est celui-là Ah donc ce n’est toujours pas la partition que j’ai reçue! Désolée! Je continuerai de chercher au cas où… Bonjour , je cherche la partition de Vous tous qui peinez sous le fardeau » de frère JB du Jonchay . C’est un très beau chant pour le Carême . J’ai contacté les éditions du Carmel mais ils m’ont dit qu’ils n’éditaient plus ses partitions . Elle n’est pas sur Exultet . Merci beaucoup Marie Bonjour Marie je regarderai dans nos partitions dès que possible et vous écrirai. Merci pour ce site ! Vous ne proposez pas votre partition 4 voix du chant goutez et voyez » ? Par ailleurs, j’ai la même recherche que Marie concernant Vous tous qui peinez… » du fr. JB du J. Pensez à moi, je vous serai très reconnaissante ! je penserai à vous oui ; pour le goutez et voyez à mon souvenir la partition n’est pas libre de droit Oui je l’avais trouvée aussi malheureusement il faut s’abonnerpour 30€ on ne peut pas acheter juste une partition comme sur exultet par exemple Bonjour Animateur sur la paroisse du Bouscat en Gironde, je souhaiterais trouver la partition de Le Christ est victorieux, il règne à jamais. Ce ne serait pas un problème de les payer. Merci de votre retour Je l’ai. Je vous l’envoie comment? Bonjour, je suis à recherche de la partition de Je vous salue, Joseph » du Frère Jean-Baptiste du Jonchay… Je ne la trouve nulle part, même en payant ! Si quelqu’un pouvait me dire où la trouver apparement, les éditions du Carmel n’éditent plus le Frère JB ! Merci d’avance et bonne journée ! Moi aussi je la cherche depuis un moment help ! Nous aussi nous la recherchons si vous la trouvez faites nous un signe Ah pardon! Je parlais de Règne à jamais et de vous tous qui peinez sous le fardeau. Mon mail est au dessus. Bonjour je cherche la partition pange lingua » du frère jean-Baptiste. Quelqu’un pourrait-il me donner le nom d’ un site sur lequel la trouver? Merci beaucoup bonjour je cherche la partition de ô Père infiniment bon » du frère JB Ecrire un commentaire Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.
Venezà moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeauIl y a des épreuves pénibles à vivre, dont . La librairie Label Emmaüs, c'est aussi de la BD 📚 Label Emmaüs
En ce temps-là, Jésus prit la parole et dit Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. » "Vous qui peinez et qui êtes surchargés"...Jésus, en disant cela, s'adressait en premier lieu à tous ceux qui étaient écrasés et blessés par le fardeau ou le joug de la Loi, mais aussi, plus largement, à tous ceux qui pliaient sous le poids des épreuves. Et là, chacun de nous se sent rejoint, compris, et interpellé. Car les épreuves sont notre lot à tous, au moins à certaines heures ou à certains tournants de la vie Epreuves de santé, épreuves de famille, épreuves dans la réalisation de les personnes au caractère le plus heureux ou le mieux trempé peuvent se sentir un moment écrasés par l'épreuve ; et quand les soucis s'accumulent, elles accusent le coup, car le malheur leur semble sans issue."Venez à moi, dit Jésus, vous qui pliez sous le poids de la souffrance, vous qui pleurez un être cher, car je viens habiter votre à moi, vous qui êtes las de vous donner et de vous oublier, car avec moi cette mort sera fécon­ vous qui peinez au désert de la foi, car ma parole le fera à moi, vous que la haine a chassés de votre pays, de votre maison ou des horizons de votre enfance, car avec moi vous serez dans le pays de à moi, vous qui pleurez de ne pouvoir pardonner, car je suis doux et humble de à moi, et moi, je vous ferai reposer."Mais comment Jésus s'y prend-il, et quel ce repos qu'il nous promet ? Est-ce que le Seigneur enlève d'un seul coup de nos épaules toutes les charges et tous les jougs ?Non la plupart du temps nos fardeaux restent en place, même si parfois Dieu exauce nos prières de manière inattendue. Le plus souvent les fardeaux ne changent pas c'est nous qui changeons sous le fardeau, à partir du moment où nous l'assumons comme le fardeau que Jésus nous demande de porter, et à partir du moment où, à l'école de Jésus, nous reprenons un chemin d'humilité et de souvent c'est la révolte et l'agressivité qui nous ôtent toute force intérieure. Ce qui nous paralyse, c'est de deviner ou d'imaginer, derrière les épreuves, telle ou telle réaction trop humaine, telle ou telle incompréhension ou animosité, telle ou telle injustice, telle ou telle volonté de nous barrer la qui nous fait chavirer dans notre espérance, c'est d'interpréter nos souffrances comme un rejet de Dieu ou comme une absence de son l'école de Jésus, on n'échappe pas forcément à l'épreuve, mais on apprend à lui donner un sens, à l'orienter le plus possible vers la vie, à l'assumer résolument dans la réponse à Dieu. Le fardeau demeure, mais il devient léger, parce que c'est l'amour qui le porte ce n'est plus le fardeau honni, mais le fardeau de Jésus. Le joug pèse encore sur les épaules, mais il ne fait plus mal, parce que Jésus lui-même l'a posé et l'ajuste chaque matin."Je vous ferai reposer", dit Jésus. Or son repos à lui fut rejoint à travers la Croix ; et c'est dans ce mystère qu'il nous invite à entrer c'est par l'humilité et la douceur qu'il est entré lui-même dans le repos de Dieu. … Mais en attendant, pour résister, venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et exténués, vous, mes apôtres, et avec vous, tous les hommes qui cherchent Dieu, qui pleurent à cause de la souffrance qu’ils subissent sur terre, qui s’épuisent dans la solitude, et je vous redonnerai des forces. Prenez sur vous mon joug. Ce n’est pas un fardeau. C’est un soutien. Embrassez ma Doctrine comme si c’était une épouse bien-aimée. Imitez votre Maître qui ne se borne pas à la proclamer, mais fait ce qu’elle enseigne. Apprenez de moi qui suis doux et humble de cœur. Vous trouverez le repos de vos âmes parce que la douceur et l’humilité pro­curent le royaume sur la terre et dans les Cieux. Je vous l’ai déjà dit, les vrais triomphateurs parmi les hommes sont ceux qui les con­quièrent par l’amour, or l’amour est toujours doux et humble. Je ne vous donnerais jamais à faire des choses qui dépassent vos forces, car je vous aime et je vous veux avec moi dans mon Royaume. Prenez donc mon insigne et mon uniforme, et efforcez-vous d’être semblables à moi et tels que ma Doctrine vous l’enseigne. N’ayez pas peur, parce que mon joug est doux et son poids est léger, alors que la gloire dont vous jouirez, si vous êtes fidèles, est infiniment puissante. Infinie et éternelle…
voustous qui peinez sous le poids du fardeau. Il y a des épreuves pénibles à vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible à la misère d'autrui. Mais il y a des épreuves extrêmement lourdes dont rien de bon ne semble sortir : injustice et révolte sont les seuls mots qui peuvent exprimer l'insoutenable pour les personnes touchées. C'est à
Tout au long de ce Carême 2022, nous reprendrons ce chant Vous tous qui peinez Rey Vous tous qui peinez sous le fardeau, approchez-vous du Christ Tournez vos cœurs vers sa Lumière, source de vie éternelle 1/ Dans le désert ou dans la nuit, Dieu marche avec son Peuple Dans le combat contre le mal, il est notre Victoire ! 2/ Le Fils de Dieu resplendissant de la Gloire du Père Nous donne part à sa Clarté, sa Parole est Lumière ! 3/ Par votre foi, puisez la vie au Rocher qui nous sauve ! L’Esprit d’Amour vous comblera comme un torrent d’eau vive ! 4/ Son Corps livré pour nos péchés guérit toute blessure. Paix de nos cœurs, Joie du Royaume, Plénitude de grâce !
Voustous qui peinez sous le fardeau, approchez-vous du Christ : tournez vos cœurs vers sa Lumière, source de vie éternelle. 1/ Dans le désert ou dans la nuit, Dieu marche avec son Peuple. Dans le combat contre le mal, il est notre Victoire ! 2/ Le Fils de Dieu resplendissant de la Gloire du Père, Message du Pape François à l’occasion de la XXVIIIE Journée Mondiale du Malade 2020 – 11 février 2020 Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » Mt 11, 28 Chers frères et sœurs, 1. Les paroles que Jésus prononce Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » Mt 11, 28 indiquent le mystérieux chemin de la grâce qui se révèle aux simples et qui offre un soulagement à ceux qui peinent et qui sont fatigués. Ces mots expriment la solidarité du Fils de l’homme, Jésus-Christ, face à une humanité affligée et souffrante. Que de personnes souffrent dans leur corps et dans leur esprit ! Il appelle tous les hommes à aller vers lui, venez à moi », et il leur promet soulagement et repos. Quand Jésus dit cela, il a face à lui les personnes qu’il rencontre chaque jour sur les routes de Galilée tant de gens simples, pauvres, malades, pécheurs, exclus par le poids de la loi et du système social oppressif… Ces personnes l’ont sans cesse poursuivi pour écouter sa parole – une parole qui donnait l’espérance » Angélus, 6 juillet 2014. En cette XXVIIIème Journée Mondiale du Malade, Jésus adresse son invitation aux malades et aux opprimés, aux pauvres qui savent bien qu’ils dépendent entièrement de Dieu et qui, blessés par le poids des épreuves, ont besoin de guérison. Jésus-Christ, n’impose pas de lois à ceux qui vivent l’angoisse de leur propre situation de fragilité, de douleur et de faiblesse, mais il offre sa miséricorde, c’est-à-dire sa personne qui les réconforte. Jésus regarde l’humanité blessée. Lui, il a des yeux qui voient, qui s’aperçoivent, car ils regardent en profondeur. Il ne s’agit pas d’un regard rapide et indifférent, mais qui s’attarde et accueille tout l’homme, tout homme, dans sa condition de santé, sans écarter personne, mais en invitant chacun à entrer dans sa vie pour faire une expérience de tendresse. 2. Pourquoi Jésus-Christ nourrit-il ces sentiments ? Parce qu’il s’est fait faible lui-même, faisant ainsi l’expérience de la souffrance humaine et recevant à son tour le réconfort du Père. De fait, seul celui qui fait personnellement cette expérience saura être un réconfort pour l’autre. Il existe diverses formes graves de souffrance les maladies incurables et chroniques, les pathologies psychiques, celles qui nécessitent de la rééducation ou des soins palliatifs, les divers handicaps, les maladies de l’enfance et de la vieillesse… Dans ces circonstances, on ressent parfois un manque d’humanité et il apparaît alors nécessaire de personnaliser l’approche à l’égard du malade, non plus seulement en soignant mais aussi en prenant soin, pour une guérison humaine intégrale. Lorsqu’elle est malade, la personne ressent que, non seulement son intégrité physique est compromise, mais aussi ses dimensions relationnelle, intellectuelle, affective et spirituelle. Elle attend donc, en plus des thérapies, un soutien, une sollicitude, une attention… en somme, de l’amour. En outre, aux côtés du malade, il y a une famille qui souffre et qui demande, elle aussi, réconfort et proximité. 3. Chers frères et sœurs malades, la maladie vous place d’une façon toute particulière parmi ceux qui sont fatigués et opprimés », ceux qui attirent le regard et le cœur de Jésus. C’est de là que vient la lumière pour vos moments d’obscurité, l’espérance pour votre réconfort. Il vous invite à aller à lui Venez ». En lui, en effet, les inquiétudes et les interrogations qui surgissent en vous, dans cette “ nuit ” du corps et de l’esprit, trouveront de la force pour être traversées. Certes, le Christ ne nous a pas donné de recettes, mais, par sa passion, sa mort et sa résurrection, il nous libère de l’oppression du mal. Dans votre condition, vous avez certainement besoin d’un lieu pour vous réconforter. L’Église veut être toujours davantage et toujours mieux l’“ auberge ” du bon Samaritain qu’est le Christ cf. Lc 10, 34, à savoir la maison où vous pouvez trouver sa grâce, qui s’exprime par la familiarité, l’accueil, le soulagement. Dans cette maison, vous pourrez rencontrer des personnes qui, guéries par la miséricorde de Dieu dans leur fragilité, sauront vous aider à porter la croix en faisant de leurs propres blessures des ouvertures par lesquelles regarder l’horizon au-delà de la maladie et recevoir la lumière et l’air pour votre vie. C’est dans cette œuvre de réconfort envers les frères malades que se situe le service du personnel de santé, médecin, infirmiers, agents sanitaires et administratifs, aides-soignants et volontaires qui, par leur compétence, agissent en faisant sentir la présence du Christ, qui offre sa consolation et se charge de la personne malade en soignant ses blessures. Mais, eux aussi, sont des hommes et des femmes, avec leurs fragilités et leurs maladies. Pour eux, en particulier, s’applique ce propos selon lequel une fois que nous avons reçu le repos et le réconfort du Christ, nous sommes appelés à notre tour à devenir repos et réconfort pour nos frères, avec une attitude douce et humble, à l’imitation du Maître » Angélus, 6 juillet 2014. 4. Chers agents du monde de la santé, toute intervention diagnostique, préventive, thérapeutique, de recherche, de soin et de rééducation, s’adresse à la personne malade, où le substantif “ personne ” prime toujours sur l’adjectif “ malade ”. Par conséquent, votre action doit tendre constamment à la dignité et à la vie de la personne, sans jamais céder à des actes de nature euthanasiste, de suicide assisté ou de suppression de la vie, pas même quand le stade de la maladie est irréversible. Dans l’expérience de la limite et même de l’échec possible de la science médicale face à des cas cliniques toujours plus problématiques et à des diagnostics funestes, vous êtes appelés à vous ouvrir à la dimension transcendante, qui peut vous offrir le sens plénier de votre profession. Rappelons que la vie est sacrée, qu’elle appartient à Dieu et, par conséquent, qu’elle est inviolable et qu’on ne peut en disposer cf. Instr. Donum vitae, n. 5 ; Enc. Evangelium vitae, n. 29-53. La vie doit être accueillie, protégée, respectée et servie, de la naissance à la mort c’est à la fois une exigence tant de la raison que de la foi en Dieu auteur de la vie. Dans certains cas, l’objection de conscience est pour vous le choix nécessaire pour rester cohérents au “ oui ” à la vie et à la personne. En tout cas, votre professionnalisme, animé par la charité chrétienne, sera le meilleur service rendu au vrai droit humain le droit à la vie. Quand vous ne pouvez pas guérir, vous pouvez toujours soigner grâce à des gestes et à des procédures qui apportent soulagement et réconfort au malade. Hélas, dans certains contextes de guerre et de conflit violent, le personnel de santé et les structures qui s’occupent de l’accueil et de l’assistance des malades sont pris pour cibles. Dans certaines zones, le pouvoir politique aussi prétend manipuler l’assistance médicale en sa faveur, limitant la juste autonomie de la profession sanitaire. En réalité, attaquer ceux qui se consacrent au service des membres souffrants du corps social ne profite à personne. 5. En cette XXVIIIème Journée Mondiale du Malade, je pense aux nombreux frères et sœurs qui, dans le monde entier, n’ont pas la possibilité d’accéder aux soins, parce qu’ils vivent dans la pauvreté. Je m’adresse donc aux institutions sanitaires et aux Gouvernants de tous les pays du monde, afin qu’ils ne négligent pas la justice sociale au profit de l’aspect économique. Je souhaite qu’en conjuguant les principes de solidarité et de subsidiarité, il soit possible de coopérer pour que tous aient accès aux soins appropriés pour sauvegarder et retrouver la santé. Je remercie de tout cœur les volontaires qui se mettent au service des malades, en allant souvent suppléer les carences structurelles et en reflétant, par des gestes de tendresse et de proximité, l’image du Christ bon Samaritain. Je confie à la Vierge Marie, Santé des malades, toutes les personnes qui portent le poids de la maladie, avec leurs familles, ainsi que tous les personnels de santé. Je vous assure que je suis proche de vous tous dans la prière et je vous envoie de grand cœur la Bénédiction apostolique. Du Vatican, le 3 janvier 2020, Mémoire du Saint Nom de Jésus. François 32 Vous tous qui peinez sous le poids du fardeau » Prier. François Picart (prêtre de l’Oratoire), le 08/07/2017 à 06:00; Modifié le 08/07/2017 à Evangile En ce temps-là, Jésus prit la parole Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »Prière Mon Dieu, j’ai confiance en Toi. Je crois que tu es mon Père, mon Papa. Tu m’aimes et Tu veux mon bien. Fais de moi ce qu’il te Jésus, doux et humble de cœur, rends mon cœur semblable au de réflexion 1. Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos ». Si je veux vivre ma vie loin de Jésus, mon fardeau sera lourd. Par contre, si je la vis avec Lui, mon fardeau est plus facile à porter. Sa présence rend ma croix plus douce, car c’est Lui le véritable repos pour mon âme. 2. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos ». Apprenons de la vie cachée de Jésus pendant trente longues années, ce cœur enflammé d’amour et de zèle pour les hommes s’est contenté d’une vie ordinaire, obéissant humblement au dessein d’amour du Père. Moi aussi, c’est en acceptant que ce soit Jésus, le Bon Pasteur, qui guide ma vie, que je trouverai le repos pour mon âme. 3. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger ». L’ai-je déjà expérimenté? Sinon, c’est peut-être parce que, trop souvent, je mets ma confiance en moi-même au lieu de la mettre en Dieu ; comme dit le prophète Isaïe dans la première lecture "Les jeunes gens se fatiguent, se lassent, et les athlètes s'effondrent, mais ceux qui mettent leur espérance dans le Seigneur trouvent des forces nouvelles ; ils prennent leur essor comme des aigles, ils courent sans se lasser, ils avancent sans se fatiguer ”. Dialogue Jésus, Tu es le Bon Pasteur. Je ne peux porter la croix par ma propre force et te suivre sur le chemin que Tu as pris. Toi, Tu rends mon fardeau léger en me donnant ta force. Ta présence même me procure repos et réconfort. C’est Toi ma force. Et si je suis loin de Toi, je t’appellerai. Alors Tu viendras et Tu me prendras sur tes Parler à Jésus de mes problèmes.
\n\n vous tous qui peinez sous le fardeau
. 289 302 268 164 383 177 162 248

vous tous qui peinez sous le fardeau